Je suis bien contente que Cow redevienne normal,
et que les bugs dans les accents disparaissent.

Devenant lassant,
ces messages d'erreur,
qui vous indiquent que les blogs n'existent plus.
Par ailleurs nous pouvions les consulter,
par le nom du message ou par les favoris. 
Ou leur écrire un message par mail,
quand vous possédez leur adresse perso.

Pour passer un à autre sujet,
en revenant du colloque de Paris,
j'appelle mon amie pour faire une ballade à cheval.
Je reçois en réponse un appel du proprio
pour apprendre qu'il avait emmené ses deux chevaux
près de son futur lieu d'habitation. 
Une heure de route pour y aller.
Je lui ai dis le fond de ma pensée,
réaction de lâcheté.
Certes il voulait éviter du travail à sa copine,
chargée de s'occuper des autres,
éviter que les chevaux soient pris par les filles d'une pensionnaire.
éviter un discours en quittant sa famille...
Il a assuré ses arrières,

en étant laxiste.
Etre cool, oui,
mais à la limite de la négligence
et penser que tout allait se régler tout seul.
Depuis que le cheval avait une autre cavalière pour les autres jours,
pourquoi pas,
mais c'était le bazar,
je devais le ramener parce que M voulait essayer une nouvelle selle ou autre chose.
Enfin plein de désagréments qui prennent fin.

Curieux de dire ou de le penser,
mais quelque part je suis soulagée.
La petite jument noire est partie dans une autre pension,
La grande jument  a changé de lieu,
sa proprio n'avait pas trop de temps pour s'en occuper,
vu qu'elle passe des examens en mai.
Les écuries sont à vendre,
et l'autre propriétaire,
vend les deux chevaux.
Je suis plus peinée pour eux que pour elle.

A partir du moment où elle est venue,
l'ambiance a beaucoup changé,
refaire un centre équestre miniature,
où elle voulait imposer des règles.
Le résultat,
il n'y a plus rien. 
Comme si elle avait hâté la fin,
et portait en elle les germes de sa propre destruction.