Mercredi 31 juillet 2013 à 21:52
j'étais trop grosse,
puis dans la nuit, ils sont venus,
un peu comme un cadeau surprise,
ils ne s'y attendaient pas trop,
mais nous ont vite acceptés.
Ma vie a été bouleversée,
j'ai eu deux petits,
il y a sept jours.
Une blanche et grise et un tricolore, gris noir et blanc.
Leurs poils rappellent des pelotes de laine.
Les copains leur rendent visite à tour de rôle.
Ils les respectent et leur apprennent à manger.
Le premier jour, je ne savais pas quoi faire avec les deux petits.
Puis mon instinct m'a guidé,
j'ai toujours faim et je dois recevoir de la vitamine C.
Elle a trouvé un truc, dans la seringue avec les carottes.
La nuit, je suis tranquille avec mes petits.
Elle nous isole des autres,
et je mange, mange pour les allaiter.
Je les nourris pendant trois semaines,
Quand ils ont faim, ils crient pour m'appeler.
Au bout de dix jours, la cadence infernale diminue.
Je leur apprends à faire leur toilette.
Ils deviennent vite autonome.
J'ai appris qu'elle nous gardait tous les trois.
Ils nous prennent en photo, tous les jours.
Des câlins, des caresses, porter pour les sociabiliser.
Elle a demandé des conseils à la veto.
Très attentive à nos besoins.
J'ai trouvé une super maison avec mes petits.
Je suis très contente d'être là.
Voilà la maison à nouveau bien pleine.
Les photos vont suivre pour que vous nous admiriez.
Vendredi 26 juillet 2013 à 20:46
La joyeuse bande de peluches
a la grande joie
de vous annoncer la naissance inattendue
de Shanaz et de Max
dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les peluches sont ravies de cette arrivée impromptue
pour s'amuser encore plus en bande.
Ils manifestent leur joie de vivre
et appellent leur mère Shaya
à grands renforts de cris déjà stridents.
Jeudi 25 juillet 2013 à 21:36
un vent septentrional rafraichissait bien l'atmosphère.
Le ciel avait changé de couleur,
depuis ce printemps si gris, si pluvieux, si frais.
Chaleur, pas éphémère,
elle continue pour quelques jours encore.
La lumière redescend déjà plutôt.
La chaleur tombe dessus,
cherchant la fraicheur de la moindre brise.
Les fenêtres ouvertes pour laisser le courant d'air le plus infime,
pour respirer et ne pas transpirer.
Avant que le soleil ne se lève sur le jardin,
profiter du calme ambiant et de la fraicheur,
avec une tasse de café et un bon livre
avant de nous plonger dans la rédaction des travaux en cours.
Les habits tombent au cours de la journée,
se changer pour sortir même avec une robe confortable
et légère en provenance de l'Ile Maurice,
surnommée les robes de sirène (dixit les nénettes peluches).
D'autres personnes croisées restent avec cette chaleur
en pantalon long et chemise à manches longues,
dans des couleurs sobres, passe partout,
comme pour passer inaperçu.
Curieux comme la nature humaine choisit de s'accorder avec la chaleur!
Vendredi 19 juillet 2013 à 21:33
Petite chérie n'est pas destinée
que pour la princesse Yasmine.
En fait elle est chouchoutée, surveillée.
Elle mange des plats particuliers,
reçoit des seringues avec pleins de vitamines.
Et nous alors.
Djemila est aussi l'objet d'attention.
Elles ont cinq ans cet été.
Je proteste,
du coup je réagis à Petite Chérie
et accourt à toute vitesse pour manger
les galettes d'avoine réservées à son usage exclusif.
Je suis aussi très familière
pour profiter des bonnes occasions.
Je pense que Petite Chérie s'applique
à toutes les femelles peluches de la maison.
Nous sommes tellement adorables et craquantes...
Je proteste, ils n'ont pas encore de photos de moi...
Mardi 16 juillet 2013 à 18:53
Entre la rédaction de mes travaux et les ballades sur le cheval,
l'été se déroule tranquillement.
Pour l'instant, la chaleur ne me fait pas suffoquer,
un petit vent rafraichit l'atmosphère,
et je reste dans la forêt avec monsieur.
L'autre jour, retour le long de la rivière,
il a osé mettre les pieds dans l'eau
et boire cette source fraiche.
Un miracle.
L'ombre bienfaisante de notre cathédrale de verdure
se déploie au-dessus de nous.
Le temps se déroule au ralenti,
la rivière émet une onde rafraichissante
et transmet sa tranquillité aux passants.
De grands arbres frémissent au vent passant.
La chaleur est tenue à distance.
Aucune envie de la quitter...