Après avoir attendu une semaine de plus,
j'ai croisé l'ancien propriétaire du cheval
qui m'attendait chez lui dans son nouveau lieu,
à une heure de route de chez moi.
Mais avec la canicule, je n'avais pas envie de rouler deux heures au total.
Puis je vois souvent la petite jument noire,
qui boitait beaucoup à cause de son déferrage.
J'ai revu sa propriétaire samedi matin.
Puis j'ai entendu la nouvelle samedi en début d'après midi.
La jument est arrivée, âgée de 17 ans,
elle s'appelle Osanna, et c'est une jument arabe.
Quand je viens,
elle est en dans un pré, envahie par les mouches,
elle secoue la tête pour se dévisser les oreilles.
Mais entre, elle se frotte contre le bas de ma robe.
Elle est baie avec la robe brune et les crins noirs.
Elle semble aimer les câlins.
Je vais la revoir demain matinée,
pour essayer d'émettre un lien avec elle.
Puis entre temps, j'ai eu la confirmation de la réservation d'un box
dans une pension située en bordure de forêt.
En attendant la suite et de prendre une décision
qui va changer ma vie.
Mardi 25 août 2015 à 21:57
Lundi 10 août 2015 à 21:13
Je croyais avoir trouvé une pension pour mon futur cheval,
mais à force de converser avec le propriétaire,
j'ai l'impression d'un fouillis caché et
ces propos ne sont pas clairs.
Une jument doit partir pour des mondes meilleurs,
je comprends.Entretemps, il me dit qu'on trouvera un arrangement...
Il le répète à d'autre...
J'ai eu un écho.
Je suis passée une fois, pour éclaircir la situation,
j'apprends qu'un cheval doit changer de terrain
pour se remettre de sa tendinite...
Je lui dis clairement, il n'y a pas de place.
Il me répond, ne le prenez pas comment ça.
Au moins, la question était clairement posée.
Il me rappelle comme promis,
pour me confirmer ce que je savais déjà...
Il a tenu sa promesse, mais je ne suis toujours pas plus avancée,
j'ai l'impression que pour l'instant : il ne veut pas, il ne peut pas ...
Du coup, je cherche un peu partout que ce ne soit pas trop loin de chez moi.
Ce soir, après un appel, j'ai visité une pension tenue par une femme
au bord de la forêt.
J'adore la forêt, j'y avais fait des randonnées il y a une dizaine d'années.
Il y fait bon... Les arbres, des feuillus, s'élèvent vers le ciel.
Nous sommes au-dessus de la plaine...
EN hiver, un peu plus inquiétant.
A priori, elle aurait une place pour moi en septembre ou en octobre.
Mais je veux être sûre...
Samedi, une jument rentre au refuge,
je rappelle à la fin de la semaine.
mais à force de converser avec le propriétaire,
j'ai l'impression d'un fouillis caché et
ces propos ne sont pas clairs.
Une jument doit partir pour des mondes meilleurs,
je comprends.Entretemps, il me dit qu'on trouvera un arrangement...
Il le répète à d'autre...
J'ai eu un écho.
Je suis passée une fois, pour éclaircir la situation,
j'apprends qu'un cheval doit changer de terrain
pour se remettre de sa tendinite...
Je lui dis clairement, il n'y a pas de place.
Il me répond, ne le prenez pas comment ça.
Au moins, la question était clairement posée.
Il me rappelle comme promis,
pour me confirmer ce que je savais déjà...
Il a tenu sa promesse, mais je ne suis toujours pas plus avancée,
j'ai l'impression que pour l'instant : il ne veut pas, il ne peut pas ...
Du coup, je cherche un peu partout que ce ne soit pas trop loin de chez moi.
Ce soir, après un appel, j'ai visité une pension tenue par une femme
au bord de la forêt.
J'adore la forêt, j'y avais fait des randonnées il y a une dizaine d'années.
Il y fait bon... Les arbres, des feuillus, s'élèvent vers le ciel.
Nous sommes au-dessus de la plaine...
EN hiver, un peu plus inquiétant.
A priori, elle aurait une place pour moi en septembre ou en octobre.
Mais je veux être sûre...
Samedi, une jument rentre au refuge,
je rappelle à la fin de la semaine.
Demain je vais appeler pour une autre pension dans la plaine...
J'espère qu'il y a des arbres...
Vendredi 7 août 2015 à 9:52
Les fortes chaleurs qui s'abattent sur ma région,
n'encouragent pas à des activités démesurées.
Les champs ressemblent à des paillassons.
Seuls les arbres restent verts et apportent une ombre agréable.
Depuis le début des chaleurs,
j'ai retrouvé cette rivière que j'aime tant,
et les lieux environnants.
La jument que je montais alors,
remontait la rivière sur de bonnes longueurs.
L'autre cheval mettait très rarement les pieds dedans,
et la petite jument noire aime bien s'y rafraichir.
Comme pour l'instant, je suis seule,
équipée d'une paire de sandales pour piscine,
je me promène dans la rivière.
Elle est basse,
des cailloux ou du sable parsèment son cours.
Les arbres l'entourent d'un ombrage épais.
Le soleil passe à travers,
seulement pendant quelques heures de la journée,
à certains endroits.
L'autre jour, je rencontrais une cane.
Hier j''étais dans la partie plus haute,
des enfants avec leurs parents montent des digues de sable.
qui ne tiennent pas sous le courant.
Un cycliste me demande si l'eau est potable,
pour les chevaux ou les animaux,
mais pas pour nous.
En fin d'après midi, j'entends un bruit bizarre,
en revenant sur mes pas,
je constate qu'un tracteur,
est occupé à tirer de l'eau de la rivière.
Il est en train de remplir une cuve pour du bétail.
En petite robe légère,
je la parcoure sur quelques mètres,
pendant facilement deux heures.
J'y retourne cet après midi,
pendant deux heures,
au hasard des rencontres...
n'encouragent pas à des activités démesurées.
Les champs ressemblent à des paillassons.
Seuls les arbres restent verts et apportent une ombre agréable.
Depuis le début des chaleurs,
j'ai retrouvé cette rivière que j'aime tant,
et les lieux environnants.
La jument que je montais alors,
remontait la rivière sur de bonnes longueurs.
L'autre cheval mettait très rarement les pieds dedans,
et la petite jument noire aime bien s'y rafraichir.
Comme pour l'instant, je suis seule,
équipée d'une paire de sandales pour piscine,
je me promène dans la rivière.
Elle est basse,
des cailloux ou du sable parsèment son cours.
Les arbres l'entourent d'un ombrage épais.
Le soleil passe à travers,
seulement pendant quelques heures de la journée,
à certains endroits.
L'autre jour, je rencontrais une cane.
Hier j''étais dans la partie plus haute,
des enfants avec leurs parents montent des digues de sable.
qui ne tiennent pas sous le courant.
Un cycliste me demande si l'eau est potable,
pour les chevaux ou les animaux,
mais pas pour nous.
En fin d'après midi, j'entends un bruit bizarre,
en revenant sur mes pas,
je constate qu'un tracteur,
est occupé à tirer de l'eau de la rivière.
Il est en train de remplir une cuve pour du bétail.
En petite robe légère,
je la parcoure sur quelques mètres,
pendant facilement deux heures.
J'y retourne cet après midi,
pendant deux heures,
au hasard des rencontres...
Lundi 3 août 2015 à 20:50
Dans la forêt lointaine,
au bord de la rivière,
un canard est apparu.
Je marchais dans l'eau pour me rafraichir,
quand soudain je vois un canard brun
se confondant avec l'onde calme.
Il s'éloigne de moi,
mais en avançant sans bruit,
il revient vers moi.
Toujours un oeil sur moi,
il continue ses activités.
Il remonte le courant,
et utilise une patte pour virer.
Il plonge pour attraper les libellules
affleurant sur l'eau.
Il se bascule vers le fond,
pour chercher des vers.
Il se rapproche de moi.
Des enfants frappant l'eau
à grand bruit avec leurs sandales.
Le canard redescend,
mais ils ne l'ont pas vu.
Des parents voulant mettre les pieds de leur fillette à l'eau,
je les envoie plus loin
sur un endroit sableux.
Je reste avec lui
pour profiter de ce partage rare.
Il reste dans les parages
et poursuit inlassablement
ses occupations nourricières.
C'est rare et un bonheur
de profiter d'un tel instant
à l'ombre des arbres.
au bord de la rivière,
un canard est apparu.
Je marchais dans l'eau pour me rafraichir,
quand soudain je vois un canard brun
se confondant avec l'onde calme.
Il s'éloigne de moi,
mais en avançant sans bruit,
il revient vers moi.
Toujours un oeil sur moi,
il continue ses activités.
Il remonte le courant,
et utilise une patte pour virer.
Il plonge pour attraper les libellules
affleurant sur l'eau.
Il se bascule vers le fond,
pour chercher des vers.
Il se rapproche de moi.
Des enfants frappant l'eau
à grand bruit avec leurs sandales.
Le canard redescend,
mais ils ne l'ont pas vu.
Des parents voulant mettre les pieds de leur fillette à l'eau,
je les envoie plus loin
sur un endroit sableux.
Je reste avec lui
pour profiter de ce partage rare.
Il reste dans les parages
et poursuit inlassablement
ses occupations nourricières.
C'est rare et un bonheur
de profiter d'un tel instant
à l'ombre des arbres.