Vendredi 24 juillet 2009 à 21:48
Quelquefois des situations que vous croyez maitrisées vous échappent,
puis vous comprenez que vous atteignez vos limites.
Elles ne sont pas démesurées.
Quelquefois la décision de s'arrêter vous est imposée par votre corps.
Il peut s'agir d'un choix obligé pour survivre.
Mais les autres n'acceptent pas ou ne veulent pas se mettre à votre place.
Ils estiment qu'eux seuls détiennent la vérité,
et restent fixer sur leurs positions.
Y-a-t-il une solution à trouver pour qu'ils puissent examiner votre initiative?
Prendre du recul est nécessaire des deux côtés.
Y-a-t-il la possibilité de trouver un compromis ou non?
Seul le temps peut nous apporter une réponse et encore.
Mais il n'y a pas de raison pour s'épuiser en vain,
même si l'incompréhension demeure...
Samedi 18 juillet 2009 à 17:06
Nous fêtons notre anniversaire cette semaine,
c'est pourquoi nous voulons vous le faire partager.
Nous avons bien grandi et nos différences se sont affichées.
Je me révèle curieuse et gourmande, j'aime bien explorer de nouveaux lieux
tandis que ma copine est aussi gourmande, mais aime bien sa tranquillité.
Depuis que nous avons grandi et que nous sautons plus aisément,
nous sortons dans la maison presque tous les jours et le soir nous rentrons bien sagement!
Mais quand il fait chaud, nous sommes en liberté toute la journée.
En plus on nous a installé une pataugeoire dont l'eau est renouvelée fréquemment.
Quel plaisir de s'y tremper les pattes, c'est un moyen pour nous de se rafraichir!
Les deux copains nous ont accepté facilement,
nous apprécions beaucoup la compagnie,
mais nos caractères s'accordent plus facilement avec l'un d'entre d'eux,
toujours en mouvement et très actif, l'autre, un peu ronchon et dort plus.
Il n'y a pas de querelles entre nous, on préfère toujours discuter et trouver un accord.
Sinon chacun va de son côté et les explications sont remises à plus tard.
Nous avons dû apprendre à répondre à nos prénoms.
Exercice qui nous a pris du temps jusqu'à ce que nous comprenions
comment nous nous appelions.
Nous sommes six et certains de nos prénoms ont des points communs,
voire des syllabes analogues.
Notre perception auditive est très fine et nous distinguons très bien les différences
depuis que nous arrivons à identifier les peluches ou les poilus concerné(e)s.
Dans notre famille d'accueil, nous sommes pourries et gâtées.
Franchement, qui pourrait rêver mieux!!!
Nous sommes bien traitées.
Quand nous étions petites, nous étions malades et fragiles,
et le nombre de piqûres que nous avons reçues.
Je m'en souviens encore ainsi que du trajet en voiture...
maintenant c'est fini nous sommes grandes et coquines.
Parait-il de vraies chipies!
Mais nous souhaitons à tous nos congénères d'avoir autant de chance que nous avons pour vivre longtemps!
Samedi 18 juillet 2009 à 16:26
Le travail ne m'impressionne pas!
J'ai l'habitude de gérer plusieurs choses en même temps
depuis longtemps.
Une habitude qui permet de faire face à beaucoup de situations sans perdre en efficacité.
J'apprécie le travail physique qui change et détend du travail intellectuel.
J'ai un certain entrainement et une endurance physique,
toutefois ce n'était pas suffisant.
Mais il y a deux jours je me suis rendue compte
que je n'arrivais plus à résister au surcroit de labeur.
Au départ je devais l'effectuer seule, ce qui ne me dérangeait pas.
La situation météo n'était pas celle prévue initialement,
du même coup le travail s'est multiplié par deux
ainsi que les charges transportées sur une plus grande durée.
Une 'plainte' m'a indirectement rendu service,
car une aide est arrivée.
Malgré celle-ci, nous avions de la peine à le terminer.
J'ai dû me résigner à appeler au secours, car je n'en pouvais plus.
Comment cette défection sera-elle perçue?
Sera-t-elle comprise?
Mais j'ai appris que dépasser ses forces, quand on a atteint ses limites. On ne peut plus même si la tête veut le corps ne le suivra pas.