Jeudi 23 février 2012 à 18:37

Finalement, au bout de trois semaines,
la forme revient assez vite,
mais la fatigue subsiste encore de temps à autre.
Une réflexion a permis de faire le point
et de prendre du recul par rapport à beaucoup d'événements passés.
Surtout pour les quatre prochains mois,
si ces projets doivent aboutir,
les avancements devront se faire à marches forcés.
Parait-il que cette attitude est courante à la fin des travaux.
C'est possible, mais ne pas se laisser paralyser par des inquiétudes personnelles.
Aussi que les interlocuteurs rendent les corrections à temps
et n'aient pas besoin de six semaines pour les renvoyer.
Des propositions d'aide pour la relecture se sont manifestées.
Mais ne pas décevoir, les personnes en attente,
qui ne comprendront peut être pas.
Jongler entre les activités professionnelles et les travaux en cours.
Ils ont permis de découvrir un tempérament passionné par cà,
et par la création de nouvelles idées...
Mettre en forme, demande une rigueur qui s'acquiert au fur et à mesure
et la mise en place de la typographie, indispensable.
La rédaction peut aboutir quand toutes les pièces sont disponibles et sous la main.
Rassembler tous les fichiers ensemble pour constituer le document final  sera l'ultime aboutissement
.
Enfin du travail sur la planche....


Samedi 18 février 2012 à 15:46

Chipounette reprend la plume pour vous donner quelques nouvelles.
J'ai en fait plusieurs surnoms, le dernier en date, Chipounette.
J'ai revu le veto deux fois cette semaine,
qui m'a trouvé ballonnée,
je ne mangeais plus sauf à la seringue.
Elle m'a fait des piqûres,
qui m'ont fait mal dans mon petit corps pas très épais.
Chaque fois que je la vois,
je me réfugie dans les autres bras,
mais elles ne sont pas d'accord toutes les deux.
Enfin, depuis hier soir, je mange seule à nouveau les graines...
Elle n'était pas en forme non plus,
elle tousse, dans mes petites oreilles sensibles.
Quel bruit!
Elle s'occupait de moi et des autres...
Elle a lu toute sa littérature en anglais et en allemand en retard.
Vive les congés forcés.
Elle se posait souvent, fatiguée et dormait beaucoup.
Ce matin, elle n'a pas résisté à voir le cheval roux,
qui lui a tourné les fesses pendant un bon moment.
Sauf ses oreilles tournaient et un oeil l'a regardait.
Il n'était pas content, elle lui a expliqué la situation,
j'espère qu'il a compris.
Elle n'est pas restée, juste prendre l'air,
elle n'est pas encore en forme.
ENfin, nous allons mieux toutes les deux.

 


Samedi 11 février 2012 à 10:51

Cette semaine a apporté quelques changements.
D'habitude, elle travaille dans la semaine,
mais cette fois -ci elle est restée avec nous.
Matteo adore faire sa loi le mercredi,
mais là, il n'a pas pu.
En fait, elle est grippée, reste sur l'ordi à lire ou à récolter des traités en ligne.
Elle en a recueilli trois, mercredi en une heure,
une excellente moisson parait-il.

Avec nos bonnes petites oreilles,
sa voix changeait d'une heure à l'autre,
plus ou moins profonde, accompagnée de quintes de toux.
Elle se sentait en forme, mercredi après-midi,
avec pleins de projets comme toujours. 
Jeudi soir, elle avait une voix d'outre tombe,
elle lisait installée dans le canapé,
avec l'ordinateur à proximité.
Mais quelle lecture, des inventaires de catalogue d'une université allemande,
toute contente, elle a découvert qu'un de ces compositeurs fétiches,
avait laissé des traces là-bas.
Elle est restée dans le canapé à lire toute la journée,
la distraction les peluches comme télé.
Lorenzo a coursé Mattéo, qui s'est réfugié dans le pédalier,
pour échapper à ce jeune voyou, véloce et expert en course.
Elle n'est pas en forme, ne parle pas, se réfugie dans ses lectures. 
Avec nous, c'est le service minimum.
Le cheval ne comprend pas qu'elle ne soit pas venue, le voir.
LA semaine passée, malgré le froid, elle est partie pour s'occuper de lui.
Bien au chaud dans ses poches,
Il a passé la tête sous les fils pour l'obliger à sortir.
Il est parti tout seul, en ballade,
le temps de chercher une longe et un licol,
il l'attendait en mangeant de l'herbe gelée.
Puis ils sont partis pendant une petite heure.
Dans un recoin, il doit y avoir des fantômes,
prétexte pour faire l'idiot avec un petit écart.
Il la regarde sans arrêt.
Puis au retour, la petite jument noire voulait l'accompagner.
Aujourd'hui, elle reste bien au chaud sur son canapé,
elle envisage de regarder un dvd
quel exploit, parce qu'il ne l'intéresse jamais.
Elle n'est pas en forme...

 

Mercredi 8 février 2012 à 20:28

Il était parmi nous depuis sept ans,
mais il a rejoint les autres peluches dans leurs paradis.
Petite peluche noire et blanche,
avec son nez effilé, il ouvrait les portes.
Il nous a appris la liberté,
répondre à nos noms,
c'était notre modèle à nous tous.
Présent, mais discret,
il montait sur les pantoufles pour avoir des friandises.
Rapide, preste,
Lorenzo et MAtteo le respectait,
comme l'ancêtre plein d'expérience qu'il était.
Compagnon de Yasmine, ces derniers mois,
ils s'entendaitent bien,
il la soutenait dans sa lutte contre son infection,
qu'elle a gagné de haute lutte.
Sans problème de santé,
il aimait boire le thé dans les tasses,
et dégustait les feuilles dans la théière.
Il n'avait pas de problème de santé,
veto ne connaissait pas,
mais le système était usé.
On espérait le garder encore,
mais il est parti depuis quelques jours.

Jeudi 2 février 2012 à 17:18

Amusant d'observer les gens même à travers le net,
on apprend des choses intéressantes.
Certains restent discrêts, même dans leur manifestation,
mais leurs avis peuvent être tranchants
si ils ne correspondent pas à la réalité.
Sinon on peut s'instruire en analysant les différents articles proposés sur des sujets spécialisés ou non.
Des groupes se forment, une mode de s'y inscrire,
ils ne produisent rien ou très peu.
Les profils des personnes sont aussi révélateurs de leurs centres d'intérêt quelque soit le domaine.
Des affinités peuvent se créer et faciliter des rencontres éventuelles...
Quand leur présence est détectée,
tel un fil invisible, relie les personnes concernées.
Les informations numérisées, présentes sur le net sont inestimables
et facilitent les recherches.
Autrefois, des déplacements étaient indispensables,
maintenant, bien au chaud, dans son fauteuil
on consulte des fac-similés en provenance du monde entier,
sans subir le froid polaire qui traverse la France.
L'échange de courriels (allusion à l'un d'entre eux qui n'apprécie pas le mot mail)
permet la transmission de renseignements ou de références
sans avoir recours à trois heures de route dans la montagne enneigée...
Certes, la recherche des livres ou articles oblige aux déplacements, mais fait gagner un temps inestimable.
car les renseignements fournis concernent un sujet précis et évite la noyade...
ENfin, on peut perdre aussi beaucoup de temps à regarder n'importe quoi.
Essayons d'avoir un usage rationnel du net...

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