la douceur de l'air est venue
nous sommes apparues,
vêtues de couleurs éclatantes,
mais la pluie nous a parées
de diamants éphémères.

Lundi 29 mars 2010 à 14:54
Samedi 27 mars 2010 à 18:22
Vendredi 26 mars 2010 à 9:44
Les autres voix étaient belles avec une diction superbe.
Le texte semblable au théâtre de Racine, en vers
sur des phonèmes en -ouac pour simuler les grenouilles.
Le vocabulaire utilisé " un funeste courroux", constitue un régal pour les oreilles.
Musique baroque, dirigée du clavecin propose quelquefois des tournures mélodiques très étonnantes.
Les traits caractéristiques de cette musique se retrouve constamment sauf dans le dernier acte où on sent déjà le style galant qui va pointer à l'horizon.
Dans tous les opéras baroques, des passages sont prévus pour la danse,
servent d'intermèdes entre les scènes et permettent le changement de décors.
Normalement, les danses baroques sont codifiées : rigaudon, gavotte...
Mais là, leur choix consistait à utiliser ses plages musicales
par une forme de danse moderne ou expression corporelle.
Le décor ramenait l'histoire à la période des Trente glorieuses.
Un immense placard très coloré servait de base aux changements de décors,
très ingénieux pour la conception générale de l'enchainement des scènes.
Les costumes très gais, les chaussures et les chapeaux assortis à la robe ou au tailleur,
virevoltaient au gré des déplacements des chanteurs.
Quelques effets de scène se voulaient comiques et faire participer et rire les spectateurs.
Les oiseaux chantent et un merle se lâche en plein vol...
Une voiture annonce la venue de Jupiter, dans laquelle pleins d'éléments se désintègrent,
lui explosent à la figure, de la fumée sort du radiateur...
Pleins de gags, un peu trop...
Une comédie musicale revue et corrigée sur un fonds de musique baroque.
On pourrait se poser des questions d'un point de vue sociologique, historique et musicologique...
Mardi 16 mars 2010 à 9:08
Samedi 13 mars 2010 à 18:25
Les deux tomes sont en ma possesion,
je ne les regrette pas,
ils se complètent très bien tous les deux.
Quand l'autre jour,
j'ai appris qu'il était arrivé,
je l'ai rencontré.
Quel hasard!
En plus, j'ai trouvé une nouvelle traduction en anglais,
d'un traité que je connaissais en français,
controversé par ailleurs...
Mais le summun,
j'ai déniché une rareté,
qui explique en latin, les bases,
simples à comprendre.
Il n'est pas mentionné dans les dictionnaires spécialisés...
Un comble, je traduis du latin régulièrement,
rien de tel pour progresser dixit...