Samedi 24 octobre 2009 à 16:09

Un temps humide, noyé dans la brume,
les épis de mais sont coupés,
l'herbe ne nourrit plus,
la faim nous appelle,
l'esprit d'aventure nous guide.
Nous sommes dehors et le foin est épuisé.
Les plus petites du troupeau d'équidés.
Seule l'aventure ne me tentait pas,
avec ma copine, j'ai plus de courage.
Nous sommes passées sous le fil,
la bonne odeur de l'épi de mais nous attira,
au lever du jour.
Mais pendant ce temps, les deux copines nous ont cherché dans les taillis, les sous-bois...
Tout est bien qui finit bien.
Je ne me laissa pas prendre, je me contenta de suivre la copine, 
de leur montrer mon agilité à passer dans des endroits qu'elles n'auraient même pas imaginés.
De retour au parc, nous fûmes accueillis par la horde.
Soulagées de nous avoir retrouvés, nous partîmes en promenade avec elles dans la forêt.
De retour, nous rentrâmes à la maison prendre nos quartiers d'hiver.
Contentes, elles vont nous accompagner en ballade dans la semaine.

Toute bonne chose a une fin (pas faim). 




http://alyane.cowblog.fr/images/paysagesavril09089.jpg

Dimanche 18 octobre 2009 à 11:33

Que pensez-vous des personnes qui travaillent une dizaine d'heures par jour?
Une production de travaux titanesques,
une accumulation d'informations colossales
une recherche approfondie et méthodique...

Pourquoi?
la question qu'on peut se poser?
Les garder pour soi?
Non?

Transmettre ses connaissances à l'humanité?
Partager sa science avec les autres,
qui ne sont pas toujours reconnaissants,
mais avides de prendre!
Pourtant toujours disponible  pour les éternelles questions de certain.
Seuls quelques uns l'ont compris!

Rattraper le temps perdu dans une période d'incertitude?
Vouloir rendre au centuple  ce qui  lui a été donné?

Qui détient la réponse? 









Samedi 17 octobre 2009 à 18:36

Lors de nos ballades hebdomadaires,
nous avons expérimenté différents types de selles
et notre équilibre fessier.
Une selle inadaptée peut blesser le cheval
et transformer une promenade agréable en exercice périlleux.
Une selle tournante sous son propre poids,
que va t-elle donner avec notre poids en plus?
Elle bascule en fonction des difficultés rencontrées
surtout, sans nous avertir.
Un changement de selle, la semaine dernière,
promettait de régler cet épineux problème,
mais, la sangle "trop" élastique favorisait davantage
son déséquilibre.
Une brève interruption, qui permis aux gourmandes,
de déguster les dernières quetsches,
et d'échanger les selles entre elles.
Quel confort retrouvé pour les deux partenaires
et quel plaisir d'être en équilibre avec elle.
Un retour à sa selle habituelle, montre
que l'équilibre ou l'assiette acquise depuis longtemps,
favorise l'adaptation et la compensation éventuelles
pour rester sur son dos.
Un incident amusant, un promeneur en auto,
s'inquiéta fortement de constater l'oscillation de la selle.
Mais un retour pour la déposer et finir la ballade à cru
fut beaucoup plus confortable  pour toutes les deux.

Cet exemple de pouvoir assurer son équilibre,
malgré les problèmes matérielles,
peut aussi se retrouver dans la vie quotidienne
face aux événements ou aux personnes rencontrées.

On dit bien qu'une personne essaye de nous déstabiliser,
mais qu'elle n'y arrive pas,
car notre équilibre intérieur n'est pas rompu.
Il n'est pas même pas touché,
dépend de la confiance que nous avons en nous.
Certaine Personne y contribue énormément
et peut même la renforcer.


Lundi 5 octobre 2009 à 18:31

Un an déjà, pour la première ballade,
réalisée sous un soleil digne de l'été indien.
Quelle surprise, j'ai mis une semaine à m'en remettre.
Je n' aurais jamais pensé qu'une chose pareille puisse se produire.
Des rêves inaccessibles en apparence se réalisent!
Quelques unes ont continué,
puis grand silence!
Un cycle s'est terminé,
un autre a commencé depuis cet été,
j'attends la suite avec impatience!
....




Dimanche 4 octobre 2009 à 10:30

L'utilisation des métaphores se trouve dans le langage poétique,
elle permet de créer des images pour favoriser une meilleure compréhension.
Mais quand elle est prise dans le langage oral,
elle suspecte  que la personne qui l' énonce voit des images mentales.
Gagne-t-elle en force d'évocation?
Pour la personne qui la prononce ou pour celle qui la reçoit auditivement.
La description est telle qu'elle marque et qu'elle se retient associée aux paroles prononcées.
" Je ne suis pas un canard" sorti de son contexte ne veut pas dire grand chose.
Qu'elle se compare à un canard, image peut être simpliste, mais réelle.
On n'est pas dans sa peau, ni dans sa tête.
Mais si on rajoute la suite de la phrase, on comprend davantage:
"se baigner dans une rivière glaciaire".
L'allusion est évidente signifie ' se baigner dans une eau froide'
et peut se passer d'explications.
La saison des baignades est révolue sous nos latitudes...

Le sens explicite est clair,
mais contient-il un sens implicite caché?
Une phrase d'apparence banale laisse-t-elle transparaitre un autre message?











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