Je vous donne de mes nouvelles,
et je vous remercie de vos bisous magiques.
Je vous assure de leur efficacité.
On m'a emmené chez le veto en catastrophe mercredi dernier,
j'y ai passé la nuit,
la veto m'a veillé,
j'ai reçu pleins de piqures dans mon petit corps.
J'avais une espèce de méningite,
la tête de travers et horriblement mal.
Jeudi matin, encore une série de piqures,
puis un appel pour avoir de mes nouvelles.
Plus vif, mais je marchais un peu de travers
et tenait pas très bien sur mes pieds,
enfin quatre pattes assurent une bonne stabilité.
Elle est venue me chercher,
m'a donné à manger à la seringue toutes les deux-trois heures,
j'ai accepté volontiers.
Quelques courses des pots pour bébés
pour changer des sempiternelles carottes.
Je n'aime pas le mélange brocolis-riz.
Quand je ne veux plus,
je tourne la tête.
Encore très fatigué, je mange avec plaisir,
même du foin.
Ce matin, j'ai fait la surprise d'être prêt
en même temps que les autres.
J'ai vidé mon assiette pendant la nuit,
je mange tout seul,
mais complète mon alimentation pour retrouver mes forces.
La veto lui a expliqué
que mon arrière de travers et ma tête penchée,
vont disparaitre dans quelques temps.
Elle doit avertir sa collègue,
pour qu'elle m'ausculte.
Aujourd'hui je marche normalement,
mais je me fatigue vite.
Je tiens à vivre encore longtemps,
ma jeunesse à joué en ma faveur,
je vais mieux,
mais pas encore au top de ma forme.
Je veux bien encore des bisous magiques.
Merci
Dimanche 27 octobre 2013 à 18:12
Mercredi 23 octobre 2013 à 20:22
Je suis une jeune peluche,
noire et blanche d'un côté
et blanche de l'autre.
Je peux fondre dans la banquise.
Je suis le frère de la grande bavarde Shanaz.
Je m'appelle Max, surnommé Petit CHou.
J'ai trois mois,
depuis quelques jours,
je ne suis pas en forme,
je mange mais je reste à l'écart du groupe.
Hier matin, un tour chez le veto,
elle diagnostique des ballonnements,
mais mon état ne s'améliore pas.
Ma tête est penchée d'un côté,
je mange un peu,
elle m'a nourri avec la seringue.
Je retourne chez le veto dans l'après midi,
qui décide de ma garder,
j'aurais une méningite
et pour me soulager,
elle me fait des piqures.
J'ai besoin de vos bisous magiques.
Je veux m'en sortir
et vivre pour profiter la vie avec mes copains.
J'attends des bisous magiques pour soulager ma tête.
noire et blanche d'un côté
et blanche de l'autre.
Je peux fondre dans la banquise.
Je suis le frère de la grande bavarde Shanaz.
Je m'appelle Max, surnommé Petit CHou.
J'ai trois mois,
depuis quelques jours,
je ne suis pas en forme,
je mange mais je reste à l'écart du groupe.
Hier matin, un tour chez le veto,
elle diagnostique des ballonnements,
mais mon état ne s'améliore pas.
Ma tête est penchée d'un côté,
je mange un peu,
elle m'a nourri avec la seringue.
Je retourne chez le veto dans l'après midi,
qui décide de ma garder,
j'aurais une méningite
et pour me soulager,
elle me fait des piqures.
J'ai besoin de vos bisous magiques.
Je veux m'en sortir
et vivre pour profiter la vie avec mes copains.
J'attends des bisous magiques pour soulager ma tête.
Mardi 15 octobre 2013 à 11:50
Il était une peluche appelée Yasmine,
elle nous a quitté cette nuit,
rapidement.
Elle vieillissait doucement
depuis une quinzaine de jours,
elle mangeait à la seringue
pour éviter de se fatiguer,
mais elle réagissait aux sollicitions
de l'extérieur.
Elle était volontaire et réactive,
vous regardait de son œil vif,
mais hier dans l'après-midi,
il s'est brutalement enfoncé.
Un mauvais signe,
son allure courbée
pressentait un problème,
qui a explosé dans la journée.
Son œil coulait à nouveau.
Je n'avais jamais vu
une petite peluche aussi courageuse,
avec autant de caractère
et de caractère
qui lui a permis de s'en sortir
depuis deux ans et demi,
malgré tous les ballonnements.
Elle tenait le coup
grâce aux bisous magiques.
Mais le cœur était fatigué
depuis les grosses chaleurs.
Sa remplaçante était née cet été dans la maison.
Elle laisse un grand vide pour nous,
surtout aux humains
qui l'ont choyé tellement,
elle le savait.
Elle était aimée comme peu de peluches.
elle nous a quitté cette nuit,
rapidement.
Elle vieillissait doucement
depuis une quinzaine de jours,
elle mangeait à la seringue
pour éviter de se fatiguer,
mais elle réagissait aux sollicitions
de l'extérieur.
Elle était volontaire et réactive,
vous regardait de son œil vif,
mais hier dans l'après-midi,
il s'est brutalement enfoncé.
Un mauvais signe,
son allure courbée
pressentait un problème,
qui a explosé dans la journée.
Son œil coulait à nouveau.
Je n'avais jamais vu
une petite peluche aussi courageuse,
avec autant de caractère
et de caractère
qui lui a permis de s'en sortir
depuis deux ans et demi,
malgré tous les ballonnements.
Elle tenait le coup
grâce aux bisous magiques.
Mais le cœur était fatigué
depuis les grosses chaleurs.
Sa remplaçante était née cet été dans la maison.
Elle laisse un grand vide pour nous,
surtout aux humains
qui l'ont choyé tellement,
elle le savait.
Elle était aimée comme peu de peluches.
Lundi 14 octobre 2013 à 13:23
Le jour se lève sur le pré,
les écharpes de fée restent attachées aux branches,
l'atmosphère reste humide, lourde,
les deux chevaux restent insensibles à cet univers automnal.
Leurs poils s'épaississent et poussent
pour affronter les frimas futurs.
Elle ne vient pas le monter ou le sortir,
son jeune compagnon ne supporte pas la solitude,
pas de nouvel de ses patrons.
QUand il entend sa voix dans le jardin voisin,
il l'appelle, apprécie sa visite et ses câlins.
Depuis deux mois et demi, il reste au pré...
Elle prévient que ce n'est pas bien pour lui,
reprend des habitudes,
lui montre qu'il a conservé ses bonnes manières.
Hier, elle a enfin croisé les propriétaires du jeune cheval,
il va changer de pension pour l'hiver,
les feuilles n'offrent plus une protection suffisante.
N'ont aucun remords ni d'excuse,
que leur cheval ait constitué un empêchement.
Ne s'intéressent qu'à eux.
Ils avaient reçu plusieurs messages pour résoudre ce problème minime,
mais n'ont pas daigné répondre,
prétexte, manque de temps.
La bonne excuse.
Ils jouent sur l'attitude négligente,
pour profiter de la situation
et prévenir au dernier moment
du changement d'adresse de leur jeune cheval.
Enfin, moi je suis content,
je vais profiter pour sortir régulièrement
pendant les prochaines vacances
et rejoindre le troupeau
dont ma copine de pré.
Enfin, patience et ne jamais désespéré,
tel est le secret!
les écharpes de fée restent attachées aux branches,
l'atmosphère reste humide, lourde,
les deux chevaux restent insensibles à cet univers automnal.
Leurs poils s'épaississent et poussent
pour affronter les frimas futurs.
Elle ne vient pas le monter ou le sortir,
son jeune compagnon ne supporte pas la solitude,
pas de nouvel de ses patrons.
QUand il entend sa voix dans le jardin voisin,
il l'appelle, apprécie sa visite et ses câlins.
Depuis deux mois et demi, il reste au pré...
Elle prévient que ce n'est pas bien pour lui,
reprend des habitudes,
lui montre qu'il a conservé ses bonnes manières.
Hier, elle a enfin croisé les propriétaires du jeune cheval,
il va changer de pension pour l'hiver,
les feuilles n'offrent plus une protection suffisante.
N'ont aucun remords ni d'excuse,
que leur cheval ait constitué un empêchement.
Ne s'intéressent qu'à eux.
Ils avaient reçu plusieurs messages pour résoudre ce problème minime,
mais n'ont pas daigné répondre,
prétexte, manque de temps.
La bonne excuse.
Ils jouent sur l'attitude négligente,
pour profiter de la situation
et prévenir au dernier moment
du changement d'adresse de leur jeune cheval.
Enfin, moi je suis content,
je vais profiter pour sortir régulièrement
pendant les prochaines vacances
et rejoindre le troupeau
dont ma copine de pré.
Enfin, patience et ne jamais désespéré,
tel est le secret!
Dimanche 6 octobre 2013 à 10:02
Je suis une peluche porte-bonheur,
j'apporte la joie dans tous les cœurs.
Depuis ma naissance, il y a onze semaines,
je n'ai connu que du bonheur,
d'être cajolé, admiré, câliné, chouchouté.
Je vis entouré de ma famille,
et de pleins de copains, copines.
Je stimule les mamies peluches.
J'incarne la joie de vivre,
à tous les moments de la journée.
Quand la voiture rentre,
l'occasion de réclamer à manger,
à grands renforts de cris.
Je vais dans le couloir,
et appelle avec toute la puissance de ma petite voix.
Je me rapproche de la cuisine,
je suis un leader née.
Les autres me suivent.
Je n'ai peur de rien,
l'habitude de décoller dans les airs,
bien à l'abri dans les mains ou dans les bras.
J'adore les câlins,
même quand je reçois quelques remontrances,
car mes dents aiment bien toucher à tout.
J'apprends ainsi les limites possibles.
Ma fourrure est tellement douce,
elle s'allonge doucement,
un prétexte aux caresses.
Un jour de pluie,
regardez- moi
et je vous fais sourire,
malgré vous.
Je suis une peluche porte-bonheur.
QUi suis-je Shanaz ou Maximiliano?
UN détail, j'existe en photo,
mais toujours pas mise en ligne.
j'apporte la joie dans tous les cœurs.
Depuis ma naissance, il y a onze semaines,
je n'ai connu que du bonheur,
d'être cajolé, admiré, câliné, chouchouté.
Je vis entouré de ma famille,
et de pleins de copains, copines.
Je stimule les mamies peluches.
J'incarne la joie de vivre,
à tous les moments de la journée.
Quand la voiture rentre,
l'occasion de réclamer à manger,
à grands renforts de cris.
Je vais dans le couloir,
et appelle avec toute la puissance de ma petite voix.
Je me rapproche de la cuisine,
je suis un leader née.
Les autres me suivent.
Je n'ai peur de rien,
l'habitude de décoller dans les airs,
bien à l'abri dans les mains ou dans les bras.
J'adore les câlins,
même quand je reçois quelques remontrances,
car mes dents aiment bien toucher à tout.
J'apprends ainsi les limites possibles.
Ma fourrure est tellement douce,
elle s'allonge doucement,
un prétexte aux caresses.
Un jour de pluie,
regardez- moi
et je vous fais sourire,
malgré vous.
Je suis une peluche porte-bonheur.
QUi suis-je Shanaz ou Maximiliano?
UN détail, j'existe en photo,
mais toujours pas mise en ligne.