Jeudi 29 mars 2012 à 22:48

Un nouveau jeu, bien involontaire ma foi,
chercher un fichier!
Présent tout au long de la semaine sur l'écran,
apporter des améliorations toutes les heures,
le peaufiner, le compléter avec des livres et des articles lus.
Renouveler la présentation,
corriger le texte,
rajouter des tableaux clairs et explicites.
Puis prêt pour l'envoi.
Le mail est écrit et joindre le fichier.
Une idée géniale, l'ouvrir pour le lire.
O Malheur, désespoir et catastrophe,
ce n'est pas le bon,
mais le titre correspond et l'heure d'enregistrement aussi.
ALerte nationale aux spécialistes.
ALERTE à la Rescousse...
Une recherche est lancée avec le titre,
même dans les fichiers temporaires,
il n'existe pas...
Il faut tout refaire, il a quarante deux pages.
L'inquiétude et le doute s'imposent dans l'esprit.
Puis une idée de génie vient réveiller l'espoir,
je l'ai envoyé par msn pour une question de présentation.
Vérifier les fichiers reçus,
il est bien là avec sa jolie petite introduction rédigée en une heure.
Ouf une bien grosse frayeur pour pas grand chose.
Mais une copie de sauvegarde est programmée par sécurité extrême.
Enfin, le courriel (faire plaisir à certains) est envoyé
et cet article est écrit dans la foulée
à titre anecdotique et de témoignage...

Samedi 24 mars 2012 à 21:49

Les dernières péripéties de toutes les peluches, petites et grandes.
Le cheval roux au mieux de sa forme a décidé
de se servir de foin directement dans la réserve,
une bien mauvaise idée, pris en flagrant délit,
il s'est fait rouspéter.
Mais comme il est cool, curieux et gourmand,
il a décidé de visiter le saloon, petite pièce,
située après les boxes dans l'écurie,
chauffée en hiver pour boire un café et manger quelques gâteaux.
Quelques marches ne le rebutent pas pour tenter de pénétrer dans la pièce,
mais ses épaules coincent dans la porte.
Comment faire pour sortir de ses propres bêtises?
Il ne pouvait plus avancer,
la seule solution,  lui faire comprendre de reculer
et de descendre les marches pour libérer la porte. 
Au bout d'un petit moment, il réussit à se libérer.
MAis le patron furieux, lui fit faire quelques tours à la longe pour lui remettre les idées en place.
Depuis un modèle de cheval obéissant et respectueux,
elle le fait aussi, et lui vient mettre sa tête dans sa main ou se coller contre elle.
Elle craque et le câline...

Par contre deux petites peluches,  rivalisent et se tapent dessus,
poussées par les températures clémentes pour les beaux yeux des demoiselles.
La confrontation devient inévitable,
Matteo est éjecté de la pièce par Lorenzo,
et dort à la cuisine.
Malgré la morale, Lorenzo continue d'exercer sa domination.
Solution provisoire, séparation de ces messieurs,
mais pouquoi ne pas essayer de les faire tourner à la longe
dans la maison, pour les calmer.
Certains humains doivent aussi aimer tourner en rond dans leur tête ou dans leurs habitudes...

Vendredi 16 mars 2012 à 8:41

Aujourd'hui, un événement dans la maison,
elle fête son anniversaire avec nous, les peluches.
Evidemment, nous avons chacun un modeste petit cadeau pour elle.
Avec sa famille proche, ils mangent tous ensemble à midi.
Des coups de fil, ont devancé  le jour de fête. 
D'amis lointains plus ou moins oubliés...
Avec d'autres, ce soir, la fête continue.
Elle adore recevoir des messages ou des sms...
Demain, autour d'un café matinal, ils poursuivront les voeux,
Puis le cheval et sa copine partiront en promenade.
Nous connaissons ses souhaits en ce jour de fête,
finir à temps ses travaux, et des rencontres éventuelles...
Enfin, qu'elle profite de cette belle journée...
Avec toute la chaleur des petites peluches et des autres...
 BON ANNIVERSAIRE !!!!

J'espère que tous les lecteurs de son blog lui laisseront un petit message sympathique...


Dimanche 11 mars 2012 à 20:37

 

Je m'appelle Lorenzo, surnommé Bout de chou.
Je suis le plus jeune parmi la confrérie des peluches.

Très malin, je décrypte les humains comme pas deux.
Pas besoin d'entendre mon nom,
au bruit de la seringue,
je rapplique pour participer aux agapes de nourriture.
Au menu, carottes et herbes en poudre pour peluches en péril.
Avec la seringue, j'apprivoise les humains.
Encore apeuré et sur mes gardes,
de temps à autre, une main me caresse,
mes poils sont si doux et si longs.
Je lèche la grille pour ne pas perdre une miette de cette onctueuse purée.
Quelque fois, je fais ma toilette sinon mes poils deviennent collants.
J'adore vivre en communauté,
les deux caisses sont rassemblées.
Un véritable coup de génie,
je passe de l'une à l'autre par les toits des maisons.
MAtteo est le roi incontesté des peluches,
mais je suis jeune et de temps en temps,
des castagnettes résonnent dans la maison.
Nos dents s'entrechoquent pour effrayer l'ennemi,
Matteo court et moi je lui attrappe quelques poils au passage.
Ainsi, il garde la forme.
Quand elle est là, elle n'est pas d'accord.
Dommage ,c'est drôle...
Je suis très rapide à la course,
avec mes poils je gagne de l'aérodynamisme,
je vole sur le carrelage.
Très véloce, furtif,
une fois par ci, une fois par là
comme dans la chanson, que vous connaissez tous,
enfin j'espère.
Quand tout va bien, nous sommes tous les quatre ensemble.
J'avais toute une famille avant de venir chez elle,
maintenant j'ai plein de copains. 
C'est la belle vie!


Dimanche 4 mars 2012 à 15:19

Voici le 350e article,
depuis le 300e beaucoup d'eau a coulé sous les ponts,
les rivières ont dégelé,
mais quelques plaques sont encore verglacées.
La  forêt a subi quelques coupes,
le cheval tourne la tête pour voir les troncs qui jonchent le sol.
Un fantôme visible que par lui,
et il profite pour faire l'idiot en partant au galop,
et s'arrêter quelques foulées plus loin.
En accélérant son pas, il tombe dans le trot,
mais sa cavalière n'est pas d'accord. 
Alors, il essaie de gagner à ce petit jeu, 
mais elle est plutôt obstinée.
Des chevaux d'un autre groupe,
il aurait voulu les  connaitre. 
D'habitude, il les ignore, mais aujourd'hui,
il aurait aimé de la compagnie.
Enfin ce n'était pas le jour,
mais que ne ferait-on pas pour manger de l'herbe verte
et non plus de l'herbe gelée.
D'ailleurs, il n'a pas le droit.
Enfin, il sort à nouveau,
il est content.

Je suis le meilleur prétexte et la meilleure détente 
entre des pages à revoir, à corriger ou à écrire.
La seule compagnie agréable parait-il?
 








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