Préparation de concert

Vendredi 28 mai 2010 à 9:56

Les préparatifs de notre concert s'accélèrent.
Plus que quinze jours pour être au top!
Je crois que les plus jeunes ne se rendent pas compte de l'enjeu.
La moindre absence est mise à profit pour revoir les morceaux par petits groupes.
Leur donner les partitions  pour qu'ils revoient chez eux!
Je n'y croie pas!
Qu'ils connaissent leurs voix sans la demander à chaque fois!

Une belle photo sert pour la réalisation de l'affiche,
le programme est prêt.
Les personnes à contacter, les journalistes sont prévenus.
Les radios vont  diffuser l'annonce du concert.

Ce soir, réunion avec le groupe en  deux temps,
les petits encadrés des grands,
après les grands entre eux.
Revoir les pièces maitresses plus jouées depuis six mois.
La surprise!
Qu'en reste-t-il depuis ce jour là?


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Gâté

Mardi 25 mai 2010 à 11:13

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Deux promenades pendant ce week - end,
enfin des sorties réussies,
des paysages à découvrir,
sortir du territoire connu.
De l'exercice en vue,
des côtes raides à monter et à descendre,
freiner dans la pente,
ramasser les épaules
pour contrebalancer le pourcentage de la descente,
exercice de musculation garanti.
Un petit trot parallèle à la vue,
sur le chemin herbeux,
doux sous mes fers élimés.
Une tentative de galop est tentée,
mais la pression du mors  intervient.
Remise au trot,
reprise plus tard dans un  champ
en contrebas de la route.
L'herbe tentante pour nos bouches,
arrive sous  ma tête.
Quelques herbes aspirées au passage.
Trot soutenu dans le sillage de ma copine,
tentative d'accélération en appuyant sur le mors,
mais elle fut déjouée en brisant mes points  d'appui.
Elle a repris confiance en elle,
maitrise la technique sans problème.
Manifeste  des  acquis indiscutables.
Adore  demander de nous orienter
quand les chemins ne sont pas connus.
Revenir sur nos pas,
ne pose pas de problème,
mais retrouver les copains,
demande plus de réflexion.
C'est très amusant!
Une grosse frayeur provoquée
par un tronc couché  sur le chemin,
obligation de passer,
pas de discussion possible,
ni négociable.
L'obstacle franchi,
découverte de la vue environnante.
Mettre nos sabots dans les herbes hautes,
sans trébucher sur les trous cachés,
Faire notre travail de cheval en quelque sorte.
Dans l'euphorie du retour,
elle court à mes côtés,
je la suis en respectant les distances.
M'oblige à accepter le mors en respectant mes oreilles, j'y tiens.
M'oblige à rester tranquille en  montant sur mon dos.
En deux jours,  j'ai fait des progrès considérables.
Elle connait ma faiblesse, la gourmandise.
J'apprends  vite, je veux lui faire plaisir.
Elle est ferme, mais demeure attentive à désirs.
Elle aussi apprend vite.
Vive les longues ballades...








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Connexion réussie

Mardi 25 mai 2010 à 10:42

Finalement la connexion s'est établie
suivant une impulsion.
Effectivement une légère  inquiétude
s'est manifestée,
surtout  elle  a été exprimée de manière claire
sans les barrières habituelles.
Une nouvelle étape!
Une longue conversation a suivi
suite à une question posée.
Mais la réflexion a surgi inopiné,
l'intérêt représenté a été posé directement.
Une réponse évasive fut fournie.
Puis le dialogue continua
un bon moment.
"L'heure tourne"
clôtura la connexion.

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Curieux

Samedi 22 mai 2010 à 17:55

Chaque fois que j'y pense,
je rencontre une personne ou une autre,
je discute pendant quelque temps,
donc la connexion est repoussée
à un moment favorable ultérieur.


http://alyane.cowblog.fr/images/paysagesavril09252.jpg

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Matteo

Samedi 22 mai 2010 à 17:48

J'ai à nouveau déménagé cette semaine,
je n'ai pas arrêté.
Pleins  de bousculades dans ma jeune vie,
j'ai sept ou huit mois..
Je suis un péruvien noir et blanc,
mes poils sont hyperlongs,
un peu emmêlés.
J'avais un copain lapin depuis quelques jours.

Elle m' a choisi à cause de mes poils longs,
elle a "craqué" pour moi.
Elle m'a cherché cet après midi vers 14 h.
J'ai eu très peur quand on m'a mis dans la caisse.
Le voyage en voiture n'est pas très confortable,
mais parait-il, elle a déjà des congénères, dont Damia.

Je m'appelle Matteo ou Mats.
En pénétrant dans la maison,
j'ai reconnu les voix de  mes semblables,
je suis très content,
je ne serais pas seul.
J'ai commencé un début de conversation avec eux.
Mais j'ai peur de tout ce qui bouge,
elle m' a tendu une endive,
elle est partie pour que je la déguste tranquillement.
Je ne suis pas habitué à mon nouvel environnement.
J'essaye de retenir tous les noms et le mien.
Je pense que je serais heureux,
je vous donnerais des nouvelles.


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