En quelques jours, la situation s'est retournée,
le dégel amorcé s'est brutalement résolu en début de semaine.
A la suite d'un appel, le conciliabule est enfin arrivé.
Autour d'une table dans les profondeurs d'une cave,
l'exposition personnelle des quatre interlocuteurs s'est déroulée avec courtoisie.
Après l'évocation des "griefs" de chacun et l'intervention du patriarche
qui ne s'est pas gêné de demander,
pourquoi rien n'a été fait avant
et qu'il a fallu que je demande son intervention.
L'un des protagonistes n'a plus rien répliqué et ne savait plus quoi dire.
Il reconnait par ailleurs la qualité de mes recherches et l'investissement,
seule remarque positive à mon égard.
La nouvelle tête a des solutions pour résoudre les problèmes.
Il préfère des recherches riches et inventives, malgré des difficultés rédactionnelles,
plutôt que l'inverse, n'avoir rien à dire d'intéressant.
il parait très ouvert et semble avoir une expérience pour la direction de différents travaux que l'autre n'a pas.
Quand il ne sait pas, il n'hésite pas à le dire,
tandis que l'autre reste dans le flou pour ne pas avouer son ignorance.
La demande de l'évaluation de mon travail sera faite dans les prochaines semaines,
avec des conseils précis sur la réalisation des chapitres ou des différents paragraphes.
La solution envisagée consiste en une codirection pour éviter les débordements,
les blocages de certain, sous l'oeil attentif du patriarche.
Ils m'ont demandé mon avis et j'ai accepté.
Il ne reste plus qu'à résoudre les problèmes administratifs où mon cas est bien connu.
Jeudi 21 février 2013 à 15:04
Dimanche 10 février 2013 à 21:40
Toujours en attente du réglement de la situation,
les semaines passent et les mois s'accumulent.
Depuis juin, où j'ai remis en question ses compétences,
je me suis adressée à la hiérarchie,
situation qu'il n'accepte pas.
Il essaie toujours de me bloquer.
Une solution est envisageable,
un autre personnage bien plus souriant est prêt à superviser mes travaux.
Il a d'autres recherches à diriger.
L'autre n'en a pas,
s'il me perd, je l'espère, il n'a plus personne,
sa réputation est mise en doute.
IL pense que ne pas répondre est une solution.
Depuis le début, je pense qu'il ne sait pas encadrer des travaux,
il n'a jamais rien évalué et se réfugie derrière son domaine
et ne se gêne pas pour dévaloriser mes trouvailles.
Malgré sa résistance passive,
mon étude sur un sujet difficile semble présenter un réel intérêt,
sans me congratuler.
Une connaissance étrangère, ultra compétente,
est en train de lire en profondeur et d'apporter des annotations
et de corriger sans hésiter mes erreurs en latin et en allemand.
Ses annotations me rassurent sur la qualité du travail,
elle ne semble pas trouver pour l'instant de gros défauts.
Je suis en train d'apporter des retouches par rapport à ses remarques.
Voilà une nouvelle à apporter à qui de droit,
très inquiet et très déstabilisé
quand il a réalisé la gravité de la situation.
Mais quand le dégel sera amorcé et le blocage désamorcé,
amusant d'imaginer leurs têtes à la lecture du texte remanié.
Grâce à ses corrections,
je me suis replongée dans le travail
et repris le cours de la rédaction
et n'empêche pas de temps à autre la recherche de manuscrits.
les semaines passent et les mois s'accumulent.
Depuis juin, où j'ai remis en question ses compétences,
je me suis adressée à la hiérarchie,
situation qu'il n'accepte pas.
Il essaie toujours de me bloquer.
Une solution est envisageable,
un autre personnage bien plus souriant est prêt à superviser mes travaux.
Il a d'autres recherches à diriger.
L'autre n'en a pas,
s'il me perd, je l'espère, il n'a plus personne,
sa réputation est mise en doute.
IL pense que ne pas répondre est une solution.
Depuis le début, je pense qu'il ne sait pas encadrer des travaux,
il n'a jamais rien évalué et se réfugie derrière son domaine
et ne se gêne pas pour dévaloriser mes trouvailles.
Malgré sa résistance passive,
mon étude sur un sujet difficile semble présenter un réel intérêt,
sans me congratuler.
Une connaissance étrangère, ultra compétente,
est en train de lire en profondeur et d'apporter des annotations
et de corriger sans hésiter mes erreurs en latin et en allemand.
Ses annotations me rassurent sur la qualité du travail,
elle ne semble pas trouver pour l'instant de gros défauts.
Je suis en train d'apporter des retouches par rapport à ses remarques.
Voilà une nouvelle à apporter à qui de droit,
très inquiet et très déstabilisé
quand il a réalisé la gravité de la situation.
Mais quand le dégel sera amorcé et le blocage désamorcé,
amusant d'imaginer leurs têtes à la lecture du texte remanié.
Grâce à ses corrections,
je me suis replongée dans le travail
et repris le cours de la rédaction
et n'empêche pas de temps à autre la recherche de manuscrits.