La rentrée commence avec des questions administratives,
difficiles d'en voir le bout et remonter la piste constitue une véritable enquête.
Je devais procéder à une réinscription en ligne avec un fichier dématérialisé.
Je l'ai fait et j'attends la signature et l'accord de la personne dont je dépends.
Je surveille régulièrement le site et je vois "en attente de traitement".
Je laisse passer la rentrée et au bout de trois semaines,
je sonne l'alerte, pas de réponse.
AU bout de six semaines, suite à un mail conjugué à deux autres personnes qui m'ont aidés en juillet dernier.
Les choses commencent à bouger depuis jeudi.
L'un d'entre eux me soutient dans mes démarches et se renseigne à l'administration pour expliquer mon cas.
IL m'envoie une réponse dans la soirée. Il est question d'un dossier en papier.
Je relis les mails précédents et je me pose la question, je ne comprends rien.
Je m"adresse directement à l'administration, qui m'explique la situation, je suis entre deux eaux...
J'appelle directement la responsable et nous discutons à ce sujet.
Elle m'envoie le fichier que je dois faire parvenir à lui pour le faire signer et avoir son accord.
La personne a bien reçu le fichier en ligne, mais n'a pas pu ou voulu se connecter. Il aurait pu le signaler. Mais voyons.
Je vais lui envoyer par courrier le fichier en question.
Je ne sais pas comment il va réagir, mais je tiens à avoir le moins de contacts possibles avec lui.
La responsable m'a expliqué la manière de régler ce type de problème avec ses supérieurs hiérarchiques.
J'ai l'impression que cette situation n'est pas fréquente.
Il veut me "casser", pour préserver sa réputation. Quelle honte!
Je ne vais pas me laisser faire, je suis allée aussi loin, ce n'est pas pour renoncer comme il aurait voulu.
Il n'a pas fait son travail, je n'ai jamais eu d'évaluation de sa part sauf dans sa spécialité.
J'ai dépassé les délais d'inscription, mais la responsable m'a rassuré, je pourrais le faire en octobre.
J'ai toutes les autorisations de prolongation de la hiérarchie.
Je vous raconterais la suite des événements ou Matteo l'écrira si je ne suis pas disponible.
Je ne cèderais pas et comme dirait quelqu'un "votre obstination".
Pendant que j'écrivais cet article, la situation s'est débloquée.
J'ai reçu une réponse où ils sont prêts à me changer de personne pour terminer mes travaux.
Ils se sont rendus compte que la situation était complètement bloquée,
et ils ont parlé de mon cas jusqu'au vice-président.
Un qui craignait "pour sa réputation", dans le cadre de son travail, il est connu...
Je suis super contente de n'avoir plus de contacts avec lui...
Samedi 29 septembre 2012 à 18:44
Lundi 24 septembre 2012 à 22:12
Je regrette ma liberté des vacances,
rester chez soi, travailler à son rythme et monter à cheval presque tous les jours.
J'ai repris depuis une semaine,
réglé les différents emplois du temps les uns après les autres.
Gérer les desiderata avec circonspection,
et essayer de les satisfaire.
Des réunions où certains "chefs" apprécient leur pouvoir,
mais sont largués et le reconnaissent;
quand tous les échanges se transfèrent par mails ou clef usb.
Une réunion qui ne sert à rien, uniquement pour faire le bilan de faire la rentrée.
Enfin, ces différentes étapes se terminent.
Profiter du beau temps restant ou entre les accalmies monter pour qu'il se goinfre d'herbe encore verte.
Communiquer avec la nature et discuter avec les arbres pendant les pauses de monsieur.
Mais les feuilles dégoulinent sur nous deux, n'empêche pas la bonne humeur et le rire,
quand le cheval court après une pomme qui dévalle la pente sous ses sabots.
J'attends la dernière rentrée pour pouvoir continuer et finir mes travaux,
si la situation se débloque, malgre toutes les autorisations supérieures.
J'ai alerté tout le monde, une situation doit être trouvée rapidement et aboutir.
Je n'ai pas perdu mon été, j'ai fait des trouvailles et approfondi ma culture dans un domaine que je connais moins bien.
Il se révèle très vaste et plus complexe que prévu.
Je le savais d'avance, j'en ai une idée générale.
Mes trouvailles sont transmises et appréciées et souvent inconnues de certain spécialiste. Amusant!
Quand les mails ne sont reçus, une discussion entre les rayons s'impose...
Le seul qui regrette vraiment la rentrée, ne plus sortir tous les jours et répond
en hennissant à l'appel de son nom.
Pour se promener et remplir son ventre.
rester chez soi, travailler à son rythme et monter à cheval presque tous les jours.
J'ai repris depuis une semaine,
réglé les différents emplois du temps les uns après les autres.
Gérer les desiderata avec circonspection,
et essayer de les satisfaire.
Des réunions où certains "chefs" apprécient leur pouvoir,
mais sont largués et le reconnaissent;
quand tous les échanges se transfèrent par mails ou clef usb.
Une réunion qui ne sert à rien, uniquement pour faire le bilan de faire la rentrée.
Enfin, ces différentes étapes se terminent.
Profiter du beau temps restant ou entre les accalmies monter pour qu'il se goinfre d'herbe encore verte.
Communiquer avec la nature et discuter avec les arbres pendant les pauses de monsieur.
Mais les feuilles dégoulinent sur nous deux, n'empêche pas la bonne humeur et le rire,
quand le cheval court après une pomme qui dévalle la pente sous ses sabots.
J'attends la dernière rentrée pour pouvoir continuer et finir mes travaux,
si la situation se débloque, malgre toutes les autorisations supérieures.
J'ai alerté tout le monde, une situation doit être trouvée rapidement et aboutir.
Je n'ai pas perdu mon été, j'ai fait des trouvailles et approfondi ma culture dans un domaine que je connais moins bien.
Il se révèle très vaste et plus complexe que prévu.
Je le savais d'avance, j'en ai une idée générale.
Mes trouvailles sont transmises et appréciées et souvent inconnues de certain spécialiste. Amusant!
Quand les mails ne sont reçus, une discussion entre les rayons s'impose...
Le seul qui regrette vraiment la rentrée, ne plus sortir tous les jours et répond
en hennissant à l'appel de son nom.
Pour se promener et remplir son ventre.
Lundi 10 septembre 2012 à 20:38
Voyez comme je suis malheureux,
je suis promené tous les jours,
je suis monté tous les jours,
je peux sortir de mon pré,
je peux manger de l'herbe,
si je suis poli...
Je rencontre des deux pattes et des quatre pattes,
je discute nez à nez avec des petits chiens,
certains fort sympas et leurs maitresses aussi.
Je peux choisir certains chemins,
j'apprends à gérer mes peurs,
j'observe les alentours,
je suis aux aguets,
je mémorise les éléments bizarres du paysage environnant.
Je fais attention aux traversées des routes,
je ne tire pas à ces moments là.
J'apprends à freiner dans les descentes,
je m'appuie sur les épaules pour éviter de glisser sur le macadam.
J'apprends du vocabulaire wouh ou stop pour m'arrêter,
je peux manger en récompense.
Je connais non, sinon attention,
je connais le bruit de la tirette des fontes pour avoir des friandises,
je lève à la demande un antérieur puis l'autre.
Je prends mon mors tout seul entre deux bouchées d'herbe.
Je savoure l'herbe verte et non jaune, sinon elle me rouspète.
Je ne suis pas attaché si je reste autour de la voiture,
je fais l'admiration des passants de ma sagesse.
Je ne m'effraie plus des tracteurs, elle encore un peu.
Je lui transmets ma cool attitude, elle est beaucoup plus sereine.
Je suis un cheval heureux de sa compagnie.
je suis promené tous les jours,
je suis monté tous les jours,
je peux sortir de mon pré,
je peux manger de l'herbe,
si je suis poli...
Je rencontre des deux pattes et des quatre pattes,
je discute nez à nez avec des petits chiens,
certains fort sympas et leurs maitresses aussi.
Je peux choisir certains chemins,
j'apprends à gérer mes peurs,
j'observe les alentours,
je suis aux aguets,
je mémorise les éléments bizarres du paysage environnant.
Je fais attention aux traversées des routes,
je ne tire pas à ces moments là.
J'apprends à freiner dans les descentes,
je m'appuie sur les épaules pour éviter de glisser sur le macadam.
J'apprends du vocabulaire wouh ou stop pour m'arrêter,
je peux manger en récompense.
Je connais non, sinon attention,
je connais le bruit de la tirette des fontes pour avoir des friandises,
je lève à la demande un antérieur puis l'autre.
Je prends mon mors tout seul entre deux bouchées d'herbe.
Je savoure l'herbe verte et non jaune, sinon elle me rouspète.
Je ne suis pas attaché si je reste autour de la voiture,
je fais l'admiration des passants de ma sagesse.
Je ne m'effraie plus des tracteurs, elle encore un peu.
Je lui transmets ma cool attitude, elle est beaucoup plus sereine.
Je suis un cheval heureux de sa compagnie.
Mercredi 5 septembre 2012 à 9:52
Je suis une terreur,
moi petite peluche grise inoffensive.
Quand la veto, la voit, elle croit toujours que c'est pour moi.
Mais non, hier, les trois nouveaux ont eu droit à la visite de contrôle.
DOnc Madhya a bien deux fils :"fesse blanche" égale Fabio et "fesse noire" égale Diego.
Ils sont tous en pleine forme.
Je suis très contente de montrer l'exemple en mangeant à la seringue,
la veto pense la même chose : une bonne habitude.
Donc elle s'enquiert de mes nouvelles,
l'air ne remplit plus trop mon ventre,
un régime de croisière satisfait mes besoins nutritionnels.
Des vitamines et des granules dans la seringue.
Je crie quand mon assiette de purée de carottes est vide.
Tenez-vous bien, je me suis même remplumée.
Je crie quand je veux des calins
et rester sur ses genoux.
Je réponds aux stridulations de Madhya pour manger le matin.
Depuis leur arrivée, la maison est pleine petits bruits.
Je crois que les bisous magiques et tous les petits commentaires sont les bienvenues!
moi petite peluche grise inoffensive.
Quand la veto, la voit, elle croit toujours que c'est pour moi.
Mais non, hier, les trois nouveaux ont eu droit à la visite de contrôle.
DOnc Madhya a bien deux fils :"fesse blanche" égale Fabio et "fesse noire" égale Diego.
Ils sont tous en pleine forme.
Je suis très contente de montrer l'exemple en mangeant à la seringue,
la veto pense la même chose : une bonne habitude.
Donc elle s'enquiert de mes nouvelles,
l'air ne remplit plus trop mon ventre,
un régime de croisière satisfait mes besoins nutritionnels.
Des vitamines et des granules dans la seringue.
Je crie quand mon assiette de purée de carottes est vide.
Tenez-vous bien, je me suis même remplumée.
Je crie quand je veux des calins
et rester sur ses genoux.
Je réponds aux stridulations de Madhya pour manger le matin.
Depuis leur arrivée, la maison est pleine petits bruits.
Je crois que les bisous magiques et tous les petits commentaires sont les bienvenues!