Les oiseaux marchent sur la plaque de glace dérivante
Les mouettes en vol...
Quelques instants inoubliables d'observation de la nature...
alyane
Au gré de mon inspiration!
Vendredi 11 mars 2011 à 9:20
Les oiseaux marchent sur la plaque de glace dérivante
Les mouettes en vol...
Quelques instants inoubliables d'observation de la nature...
Mardi 8 mars 2011 à 10:12
Voir la Baltique en hiver,
un rêve,
enfin réalisé.
Sur des indications reçues avant notre départ,
la destination fut envisagée...
Le soleil perce à son méridien
l'épaisse couche de nuages saturés d'humidité.
Profiter de la lumière pour admirer la Baltique.
Au pied d'une forêt,
une plage de sable gris s'ouvre à nos yeux.
Un vent froid nous pique et nous transperce à travers les vêtements.
Mais un spectacle unique,
des canards, des cygnes, des mouettes peu farouches
s'approchent de nous.
Surtout l'inoubliable,
des plaques de glace d'une dizaine de centimètres d'épaisseur,
se détachent du bord et flottent à la surface.
Un calme nous envahit,
apprécié par tous.
Personne autour,
juste la mer, le sable et le vent...
Un cygne plonge dans la mer pour chercher sa nourriture,
des mouettes dérivent sur une plaque de glace,
les canards fouillent le sable...
Cette proximité avec la nature
où tout baigne dans une harmonie de gris, de blanc.
Le ciel se confond avec la mer,
les limites n'existent plus...
Mais le soleil amorce sa descente,
nous rappelle l'heure du retour.
Vendredi 4 mars 2011 à 16:08
L'occasion de connaitre une ville de l'Allemagne septentrionale,
s'est présentée au cours de l'automne dernier.
Un premier séjour programmé pour les vacances de Noël,
fut annulé suite au mauvais temps.
Lors d'une conversation, j'appris que cette région leur était bien connue,
lieu de vacances pendant l' adolescence.
Nous avions bien fait de le reporter.
La route autoroutière entre Frankort et Hanovre présente
des changements climatiques incessants :
un "long couloir" où des vents s'affrontent.
Pendant ces vacances,
l'opportunité s'est représentée.
De meilleures conditions météos étaient annoncées,
pluvieux pour le trajet aller et temps gris avec la percée du soleil pendant le séjour.
"Soyez prudente sur la route"...
La route s'est partagée agréablement entre trois conducteurs.
Des travaux,
des quatre voies séparées en deux ou en trois ponctuent le trajet.
Route plate, sauf dans ce fameux couloir,
où des pentes rappellent les montagnes russes des manèges de notre enfance.
Les nuages gris nous suivent tout le long,
quelques averses se déversent sur la vitre,
Une halte pique- nique au bord de la forêt pour manger,
pour se dérouiller les jambes,
d'autres pour faire le plein de la voiture.
Les kilomètres montent au compteur,
les heures s'écoulent en écoutant de la musique
et échanger des paroles...
Surprise aux alentours de Hanovre,
le temps se couvre,
le brouillard s'installe,
la neige recouvre le sol sous les forêts de sapin,
le froid s'accentue au travers de la voiture chaude,
le crépuscule descend sur la campagne.
La fin du trajet approche,
les derniers deux cent kilomètres trainent,
le port de Hambourg se profile au loin.
Puis Lubeck apparait dans la nuit commençante,
quelques belles maisons,
évoquent le style des maisons flamandes,
en brique orange ou rouge.
Puis installation dans nos résidences respectives,
et messages divers pour rassurer les proches.
av
s'est présentée au cours de l'automne dernier.
Un premier séjour programmé pour les vacances de Noël,
fut annulé suite au mauvais temps.
Lors d'une conversation, j'appris que cette région leur était bien connue,
lieu de vacances pendant l' adolescence.
Nous avions bien fait de le reporter.
La route autoroutière entre Frankort et Hanovre présente
des changements climatiques incessants :
un "long couloir" où des vents s'affrontent.
Pendant ces vacances,
l'opportunité s'est représentée.
De meilleures conditions météos étaient annoncées,
pluvieux pour le trajet aller et temps gris avec la percée du soleil pendant le séjour.
"Soyez prudente sur la route"...
La route s'est partagée agréablement entre trois conducteurs.
Des travaux,
des quatre voies séparées en deux ou en trois ponctuent le trajet.
Route plate, sauf dans ce fameux couloir,
où des pentes rappellent les montagnes russes des manèges de notre enfance.
Les nuages gris nous suivent tout le long,
quelques averses se déversent sur la vitre,
Une halte pique- nique au bord de la forêt pour manger,
pour se dérouiller les jambes,
d'autres pour faire le plein de la voiture.
Les kilomètres montent au compteur,
les heures s'écoulent en écoutant de la musique
et échanger des paroles...
Surprise aux alentours de Hanovre,
le temps se couvre,
le brouillard s'installe,
la neige recouvre le sol sous les forêts de sapin,
le froid s'accentue au travers de la voiture chaude,
le crépuscule descend sur la campagne.
La fin du trajet approche,
les derniers deux cent kilomètres trainent,
le port de Hambourg se profile au loin.
Puis Lubeck apparait dans la nuit commençante,
quelques belles maisons,
évoquent le style des maisons flamandes,
en brique orange ou rouge.
Puis installation dans nos résidences respectives,
et messages divers pour rassurer les proches.
av