Samedi 17 octobre 2009 à 18:36

Lors de nos ballades hebdomadaires,
nous avons expérimenté différents types de selles
et notre équilibre fessier.
Une selle inadaptée peut blesser le cheval
et transformer une promenade agréable en exercice périlleux.
Une selle tournante sous son propre poids,
que va t-elle donner avec notre poids en plus?
Elle bascule en fonction des difficultés rencontrées
surtout, sans nous avertir.
Un changement de selle, la semaine dernière,
promettait de régler cet épineux problème,
mais, la sangle "trop" élastique favorisait davantage
son déséquilibre.
Une brève interruption, qui permis aux gourmandes,
de déguster les dernières quetsches,
et d'échanger les selles entre elles.
Quel confort retrouvé pour les deux partenaires
et quel plaisir d'être en équilibre avec elle.
Un retour à sa selle habituelle, montre
que l'équilibre ou l'assiette acquise depuis longtemps,
favorise l'adaptation et la compensation éventuelles
pour rester sur son dos.
Un incident amusant, un promeneur en auto,
s'inquiéta fortement de constater l'oscillation de la selle.
Mais un retour pour la déposer et finir la ballade à cru
fut beaucoup plus confortable  pour toutes les deux.

Cet exemple de pouvoir assurer son équilibre,
malgré les problèmes matérielles,
peut aussi se retrouver dans la vie quotidienne
face aux événements ou aux personnes rencontrées.

On dit bien qu'une personne essaye de nous déstabiliser,
mais qu'elle n'y arrive pas,
car notre équilibre intérieur n'est pas rompu.
Il n'est pas même pas touché,
dépend de la confiance que nous avons en nous.
Certaine Personne y contribue énormément
et peut même la renforcer.


Lundi 5 octobre 2009 à 18:31

Un an déjà, pour la première ballade,
réalisée sous un soleil digne de l'été indien.
Quelle surprise, j'ai mis une semaine à m'en remettre.
Je n' aurais jamais pensé qu'une chose pareille puisse se produire.
Des rêves inaccessibles en apparence se réalisent!
Quelques unes ont continué,
puis grand silence!
Un cycle s'est terminé,
un autre a commencé depuis cet été,
j'attends la suite avec impatience!
....




Dimanche 4 octobre 2009 à 10:30

L'utilisation des métaphores se trouve dans le langage poétique,
elle permet de créer des images pour favoriser une meilleure compréhension.
Mais quand elle est prise dans le langage oral,
elle suspecte  que la personne qui l' énonce voit des images mentales.
Gagne-t-elle en force d'évocation?
Pour la personne qui la prononce ou pour celle qui la reçoit auditivement.
La description est telle qu'elle marque et qu'elle se retient associée aux paroles prononcées.
" Je ne suis pas un canard" sorti de son contexte ne veut pas dire grand chose.
Qu'elle se compare à un canard, image peut être simpliste, mais réelle.
On n'est pas dans sa peau, ni dans sa tête.
Mais si on rajoute la suite de la phrase, on comprend davantage:
"se baigner dans une rivière glaciaire".
L'allusion est évidente signifie ' se baigner dans une eau froide'
et peut se passer d'explications.
La saison des baignades est révolue sous nos latitudes...

Le sens explicite est clair,
mais contient-il un sens implicite caché?
Une phrase d'apparence banale laisse-t-elle transparaitre un autre message?











Dimanche 20 septembre 2009 à 19:08

L'autre jour , je descendais vers le village voisin,
route que je ne voulais pas emprunter,
m'attirait fortement.
Au détour d'un virage, une idée s'imposa fortement.
Je continue ma route vers le centre du village.
Je prends une rue.
Surprise!
Ma rencontre avec une voiture bien connue,
je refis le tour pour vérifier que je ne m'étais pas trompée.
C'était bien elle.
Ses occupants avaient disparu pour déjeuner dans les environs.
Je m'arrêta un instant.
A mon retour la voiture s'est volatilisée pour rentrer chez elle.
Puis plus loin, je les vis.



A quelques minutes, la rencontre aurait fonctionné.
Mais la puissance de cet appel me déconcerte encore à l'heure actuelle!
Je doutais un peu de ce lien, mais il existe bel et bien.


Dimanche 20 septembre 2009 à 18:52

http://alyane.cowblog.fr/images/photos/paysagesavril09078.jpgLors de notre virée matinale en agréable compagnie, le temps qui se découvrait sous le pas de nos montures.
Cette brume mystérieuse masquait les montagnes environnantes.
Les vignes regorgent de raisins mûrs à point. Leur cueillette est proche.
Le soleil voilé rend mystérieux les quelques saules- têtards rencontrés. Certaines y voient des créatures fantastiques qui les effrayent un peu.
Leurs pieds foulent l'herbe encore grasse ou des chemins gravillonnés, qui se croisent et s'entrecroisent.
A un embranchement, la rencontre avec un chien plus terrorisé par nous que nous par lui, n' a pas voulu bouger tant que nous étions à côté de lui.
Puis au fur de la matinée, les écharpes de fée se sont soulevées et dissipées pour laisser le soleil darder ses rayons encore chauds sur notre sol.


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