Samedi 18 juillet 2009 à 16:26

Le travail ne m'impressionne pas!
J'ai l'habitude de gérer plusieurs choses en même temps
depuis longtemps.
Une habitude qui permet de faire face à beaucoup de situations sans perdre en efficacité.
J'apprécie le travail physique qui change et détend du travail intellectuel.
J'ai un certain entrainement et une endurance physique,
toutefois ce n'était pas suffisant.
Mais  il y a deux jours je me suis rendue compte
que je n'arrivais plus à résister au surcroit de labeur.
Au départ je devais l'effectuer seule, ce qui ne me dérangeait pas.
La situation météo n'était pas celle prévue initialement,
du même coup le travail s'est multiplié par deux
ainsi que les charges transportées sur une plus grande durée.
Une 'plainte'  m'a indirectement rendu service,
car une aide est arrivée.
Malgré celle-ci, nous avions de la peine à le terminer.
J'ai dû me résigner à appeler au secours, car je n'en pouvais plus.http://alyane.cowblog.fr/images/paysagesavril09018.jpg

Comment cette défection sera-elle perçue?
Sera-t-elle comprise?

Mais j'ai appris que dépasser ses forces, quand on a atteint ses limites. On ne peut plus même si la tête veut le corps ne le suivra pas.

Lundi 25 mai 2009 à 15:32

Je suis toujours aussi gourmande,
mais ce défaut devient un avantage;
il constitue un élément favorable à l'apprentissage.
Je pense que je connais pas mal de vocabulaire,
mais surprise, un jour, j'entendis ce mot 'recul'.
Terme que beaucoup de mes congénères ont déjà appris.
Moi pas,
Un beau jour, l'idée  lui vint de le mettre en pratique.
Elle était à côté de moi,
quand je sentis une main ferme qui me poussa dans le sens contraire de la marche,
associé à "recule".
Je fus très étonnée d'entendre ce mot, mais pas qu'elle ait de nouvelles idées.
A chaque occasion, où elle pouvait,
elle me disait "recule" associée à une friandise et à des compliments.
Puis quelques temps plus tard, elle prononça cette expression,
quand je la vis dans  mon champ visuel :
elle n'était plus à côté de moi, mais sur mon dos.
Autre nouveauté,
mais la difficulté était que j'avais un poids en plus que je surmonta rapidement.
Pour se déplacer, mes repères avaient légèrement changé. http://alyane.cowblog.fr/images/DSC00296.jpg
Puis comme je vois les gâteaux sortir de sa poche,
j'ai compris qu'elle va me demander de reculer.
Je sais si elle a des friandises dans les poches, mon nez les a détectées.
Alors je m'exécute, et je me tortille afin de les recevoir.
Quand nous allons vers la boulangerie, je commence déjà à reculer bien avant pour lui montrer mes bonnes dispositions.
Puis dès qu'elle achète un petit pain, nous partageons équitablement. Ainsi nous faisons l'attraction  sur la place de l'église.
 
Vous voyez la photo,  depuis l'automne jusqu'à la floraison des arbres, j'ai appris à reculer.
J'ai compris comment faire, mais des fois je n'ai pas envie de m'exécuter.
Dans certains cas, c'est plus pratique de rester sur une ligne droite que de se tortiller.

J'ai entendu dire que cette expression mentale "prendre du recul" s'applique aussi aux humains.
C'est un avantage de savoir "zoomer" par rapport aux événements de la vie quotidienne;
Ils sont restitués à leurs justes proportions et peuvent servir à dédramatiser les petits ou gros tracas.
Ceux qui ne le pratiquent pas facilement peuvent l'apprendre, comme moi j'ai appris à reculer.
Les friandises sont-elles nécessaires pour apprendre?
Ou la motivation est-elle plus importante?
A vous de me répondre.




Dimanche 15 mars 2009 à 19:46

Vous parlez d'un sous-marin,
tout de suite on vous chante "Yellow submarin",
ou on imite tous les bruits inimaginables d'un sous-marin.
Mais cette métaphore est plus subtile,
elle permet toutes les images possibles.
Il s'agit d'un voyage virtuel à bord d'un sous-marin
et de partir faire le tour du monde pendant une quinzaine de jours.
Un voyage solitaire, loin des mondanités, loin de la famille,
un voyage à remonter  le temps à travers de vieux manuscrits.
C'est un choix à faire, à vivre...
Au bout de ce temps, on ré-émerge dans la vie quotidienne,
Le retour n'est-il pas trop difficile?
Le décalage entre le monde réel et le monde du passé,
reste à s'approprier
Les voyages spatios-temporels virtuels laissent certainement des traces
chez ceux qui les pratiquent régulièrement.
Ou est-ce une habitude à prendre, un mode de vie comme un autre?







Dimanche 15 février 2009 à 15:32

Compère,qu'as-tu vu?
j'ai vu une jument se promener toute seule,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument suivre une personne,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument chercher sa copine,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument et sa copine, aller à la boulangerie,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument, partager son petit pain,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument, choisir son chemin,
Compère, vous mentez !

Compère, qu'as-tu vu?
J'ai vu une jument, rentrer chez elle,
Compère, vous mentez !

Si compère,cette histoire est vraie !

Dimanche 8 février 2009 à 15:58

Des fois, dans la vie on vous fait d'étranges propositions,
vous avez évidemment le choix de les accepter ou de les rejeter.
Surtout si on vous dit "prenez votre temps pour me répondre,
si vous n'acceptez pas je ne vous en voudrais pas".
Même si j'étais prête à accepter tout de suite,
j'ai  réfléchi  quelques temps à sa suggestion
et consulté l'une ou l'autre personne pour avoir un avis extérieur.
Quelques jours plus tard, je rappelle pour confirmer mon accord.
Une voix toujours calme me répond, je fais durer le plaisir et après je lui dis oui.
Les intonations de la voix varient brutalement et sa joie est palpable et sans doute un peu ému!
Il s'agit d'un domaine qui m'est assez étranger, mais avec son aide je pense pouvoir y arriver.
Je reçois et je consulte le travail avec lequel je vais collaborer.
Surprise! dans quelle galère je me suis fourrée, quelle idée d'avoir accepté ....
Découragée, je n'y comprends rien sur le moment.
Mais c'est un défi, je ne peux pas y résister comme d'habitude.
Je commence à déchiffrer les caractères latins avec leurs jambages plus ou moins réguliers,
les majuscules emberlificotées, difficiles à reconnaître...
Quand je reconnais les mots, j'éprouve une allégresse qui me réjouit fortement.
Je perçois un peu le détail d'un tout qui est constitué de 800 images environ.
Je ressens son inquiétude de savoir si je m'en sors.
Je lui envoie ce que j'ai fait à mon idée mais avec pleins de détails superflus
"qui alourdissent" sans intérêt et qui prennent du temps.
Puis j'ai droit à un cours de décryptage en direct avec des explications précises,
et des instructions excessivement claires.
Je simplifie, je reforme le tout et je le réexpédie pour avoir un complément d'informations.
Quelques temps après je réponds à son appel, j'entends dans sa voix sa satisfaction.
Quant à moi, je suis rassurée sur mon sort mais je ne sais pas le temps qu'il faudra pour le réaliser.
La réponse, à voir dans quelques semaines.



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