Depuis plusieurs jours ,
j'hésite encore et toujours,
je ne sais pas pour quelle raison.
Je me dis que je n'ai rien à dire
et pourtant pleins de questions demeurent en suspens.
Puis je pense que c'est sans importance,
que des résultats concrets sont attendus.
Je pense sans doute à tort,
mais ces réflexions sont-elles si importantes,
alors qu'elles n'auraient qu'une place secondaire.
Mercredi 19 mai 2010 à 8:18
Mercredi 19 mai 2010 à 7:50
Un concert devait être organisé,
où nous devions jouer.
Mais au bout d'un temps sans réponse,
de la part des personnes contactées,
j'ai contourné le problème
et appelé directement.
Nous avons obtenu facilement leur accord,
avec un simple changement de date,
report d'une semaine.
Ce laps de temps supplémentaire
ne sera pas superflu,
pour bien préparer notre programme.
Tout le monde soit au point,
connaisse les voix à jouer,
dans quel ordre.
Surtout pratiquer une répétition générale
pour les rassurer,
soit dans l'église, soit dans la salle.
Le programme est construit
selon la forme d'une arche
avec la pièce la plus importante
au sommet, entouré
de pièces différentes
en débutant et en finissant
par des morceaux à six et huit voix.
J'espère qu'il y aura du monde
et qu'il plaira aux auditeurs.
Dimanche 16 mai 2010 à 21:24
J'ai repris les phrases, rajouté des éléments qui manquaient.
Les phrases latines sont quelquefois coupées,
je n'ai besoin que de l'essentiel.
Mais alors, une bénédiction pour les traductions existantes,
je ne remercierais jamais assez celui qui l'a fait.
Au moins j'en profite, un véritable exercice de style.
Je ne comprends pas, il a omis de traduire deux chapitres qui appartiennent à la même thématique.
Je suis arrivée à les reformuler comme lui.
Mais pour les autres, j'ai procédé à des exercices de version.
Deux traités que j'utilise, n'existent que dans la langue latine.
Bien utile de se débrouiller.
Par contre, les contraintes de la typographie,
quand toute la citation est retranscrite ou quand il s'agit que d'une partie.
Le point se met à l'extérieur des guillemets dans le premier cas et à l'intérieur dans l'autre cas.
Une autre difficulté, quand je coupe la citation,
je crois que je dois mettre des crochets entrecoupés de point de suspension.
Aussi une autre contrainte, je dois préciser le livre et le chapitre du traité, le numéro du folio ou des pages, puis le traducteur.
C'est bien complexe et loin d'être clair comme l'eau de ce ruisseau, dont nous voyons le fond.
Samedi 15 mai 2010 à 17:55
on cherche le cheval au pré!
Trop cool la vie!
Comme vous le voyez!
On rejoint la copine.
Que l'herbe est savoureuse,
en dehors du pré,
que nous avons martelé
de nos sabots.
Sellés, nous partons dans les vignes,
je me fais comprendre en tirant sur les rênes pour détendre l'encolure.
D'un bon pas,
nous longeons le vignoble en fleurs,
Puis j'ai envie de m'amuser,
je baisse la tête en me tortillant,
j'ai senti une friandise
dans les poches de l'anorak.
Dommage!
Je dois avancer,
elle a compris aussi que je voulais essayer de me cabrer gentilement.
Elle est tenace...
Comme mes copains sont loin
j'appelle avec un long hennissement.
Je la sens stressée.
Pourquoi?
Je veux juste savoir,
si ils peuvent me répondre.
Nous n'avons pas de portable
pour communiquer.
Mais non, ils ne doivent pas m'entendre.
Déjà le retour, trop bref à mon goût.
Elles parlent de partir pour quatre ou cinq heures.
Là, je suis d'accord,
j'aime bien.
Enfin de retour dans le pré avec du pain sec.
j'étais sage.
La communication passe entre nous.
Je sens qu'elle est à mon écoute
et réciproquement.
Jeudi 13 mai 2010 à 17:09
jour de sortie ajournée.
Les chevaux sont trempés,
l'herbe aussi, mais le régal demeure.
L'herbe haute, piétinée par leurs sabots,
n'est plus qu'un amas de verdure.
La pluie tombe sur le tunnel végétal,
assombri par les nuages chargés
qui détrempent le sol et nos souliers.
Profitons de ce jour pour écouter :
.