Pendant trois jours durant
il a neigé.
Temps couvert,
temps humide.
Le tapis neigeux se renforçait sans cesse, d'heures en heures.
Puis le dégel est venu,
le ciel s'éclaircit
L'eau coule à flots,
les chemins deviennent
des torrents.
Puis la nature a gardé
encore pour quelques jours,
un souvenir de l'arche glacée,
au pied de l'arbre dénudé,
dans les herbes desséchées.
Souvenir de gel,
Souvenir de l'Hiver.
Souvenir de l'Ephémère.
Jeudi 18 février 2010 à 17:37
Dimanche 14 février 2010 à 18:28
J'aime bien me promener seule,
c'est un plaisir et un privilège rares.
Je peux réfléchir à mes travaux,
changer la disposition et l'ordre des rubriques.
Profiter de la nature sans soutenir une conversation,
sur des sujets qui ne m'intéressent pas.
Ne pas engager la conversation avec toutes les personnes rencontrées,
s'arrêter,
interrompre le rythme de la marche.
J'essaye d'avoir des pas mesurés,
en gardant un certain rythme.
Dans la neige, c'est physique,
surtout quand la neige reste fraiche,
qu'on y trace nos propres pas,
ou des traces d'animaux se révèlent.
L'eau affleure sous la neige,
souillée par le passage de l'homme.
Un arbre tombé en travers du chemin,
barre le ruisseau.
Nous oblige à choisir une autre voie
pour passer de l'autre coté.
Comme organiser, arranger,
les sections du plan,
l'ordre des parties,
améliorer...
Un bon entrainement pour de futures échanges...
c'est un plaisir et un privilège rares.
Je peux réfléchir à mes travaux,
changer la disposition et l'ordre des rubriques.
Profiter de la nature sans soutenir une conversation,
sur des sujets qui ne m'intéressent pas.
Ne pas engager la conversation avec toutes les personnes rencontrées,
s'arrêter,
interrompre le rythme de la marche.
J'essaye d'avoir des pas mesurés,
en gardant un certain rythme.
Dans la neige, c'est physique,
surtout quand la neige reste fraiche,
qu'on y trace nos propres pas,
ou des traces d'animaux se révèlent.
L'eau affleure sous la neige,
souillée par le passage de l'homme.
Un arbre tombé en travers du chemin,
barre le ruisseau.
Nous oblige à choisir une autre voie
pour passer de l'autre coté.
Comme organiser, arranger,
les sections du plan,
l'ordre des parties,
améliorer...
Un bon entrainement pour de futures échanges...
Vendredi 12 février 2010 à 10:53
Voila, le livre tant attendu,
qui correspond à ce que j'attendais,
avec toutes les explications
et les exemples
appliqués à ce domaine.
J'ai trouvé tous les documents nécessaires
à la rédaction,
enfin, je pense.
Je n'ose pas trop le rappeler,
tant qu'un minimum de pages
n'a pas été écrit.
Je suppose qu'il s'inquiète
depuis l'autre jour!
Heureusement que j'ai des contacts grâce à lui,
qui sont plus utiles que d'autres.
Espérons que les travaux avanceront bien.
qui correspond à ce que j'attendais,
avec toutes les explications
et les exemples
appliqués à ce domaine.
J'ai trouvé tous les documents nécessaires
à la rédaction,
enfin, je pense.
Je n'ose pas trop le rappeler,
tant qu'un minimum de pages
n'a pas été écrit.
Je suppose qu'il s'inquiète
depuis l'autre jour!
Heureusement que j'ai des contacts grâce à lui,
qui sont plus utiles que d'autres.
Espérons que les travaux avanceront bien.
Vendredi 12 février 2010 à 10:22
Autour de notre maison,
il neige depuis hier matin,
l'entourant dans de la ouate.
On entend plus les bruits alentours,
les cris des voisins,
le chien qui aboie pour rien.
Seuls les oiseaux cherchent la nourriture,
entreposée dans un abri,
face à la fenêtre.
Nous venons d'un pays froid,
certes, mais sec.
A part les virées dans la cuisine,
pour réclamer un moreau de légumes.
Nous nous réfugions bien au chaud
dans nos caisses,
avec un bon foin odorant à savourer.
La neige nous excite pour faire des courses,
ou faire des bonds sur place,
avec les pattes bien au chaud sur l'épais tapis de laine.
Il faut bien entretenir sa forme,
et bouger pour éviter le surpoids.
Danger qui nous guette aussi,
mais certains ont plus tendance que d'autres.
On est actif sans arrêt,
on discute,
sauf pendant nos courtes périodes de sommeil.
Le soir venu, il a fallu balayer la neige,
qui s'incrustait avant de fermer les volets.
Du coup, la température dans le salon est monté,
nous avons voulu manger par terre,
ensuite nous défouler à travers la maison.
En plus, nous avons de la compagnie,
on adore!
On a la belle vie!
il neige depuis hier matin,
l'entourant dans de la ouate.
On entend plus les bruits alentours,
les cris des voisins,
le chien qui aboie pour rien.
Seuls les oiseaux cherchent la nourriture,
entreposée dans un abri,
face à la fenêtre.
Nous venons d'un pays froid,
certes, mais sec.
A part les virées dans la cuisine,
pour réclamer un moreau de légumes.
Nous nous réfugions bien au chaud
dans nos caisses,
avec un bon foin odorant à savourer.
La neige nous excite pour faire des courses,
ou faire des bonds sur place,
avec les pattes bien au chaud sur l'épais tapis de laine.
Il faut bien entretenir sa forme,
et bouger pour éviter le surpoids.
Danger qui nous guette aussi,
mais certains ont plus tendance que d'autres.
On est actif sans arrêt,
on discute,
sauf pendant nos courtes périodes de sommeil.
Le soir venu, il a fallu balayer la neige,
qui s'incrustait avant de fermer les volets.
Du coup, la température dans le salon est monté,
nous avons voulu manger par terre,
ensuite nous défouler à travers la maison.
En plus, nous avons de la compagnie,
on adore!
On a la belle vie!
Jeudi 11 février 2010 à 8:52
Je suis une des petites peluches de la maison,
je suis aussi la plus jeune.
Je suis blanche, juste la tête et les oreilles rousses.
J'ai les yeux rouges, mais je ne suis pas albinos,
le véto l'a dit....
Je suis née dans un refuge pour chevaux,
mes parents ont été accueillis là bas.
Puis un jour, on est venu me chercher.
Je devais m'appeler Nouria....
mais parait-il ce nom ne résonnait pas bien,
quand on tentait de le prononcer.
Arrivée à la maison, j'étais dénommée Damia.
Je suis avec un copain Sam,
il était plus âgé que moi,
mais gentil.
Maintenant, il s'exprime aussi.
Je suis tombée dans une famille de peluches bavardes.
Tout le monde discute, dès que l'occasion s'y prête.
Ma spécialité consiste à annoncer aux autres,
quand l'une des voitures rentre dans le garage,
je les distingue parfaitement.
En été, quand la porte-fenêtre du salon est ouverte,
je me charge de prévenir des mouvements
autour de la maison et sur la terrasse.
Les pas des promeneurs crissent,
même sur l'herbe...
Quand les chaises grincent sur le carrelage,
j'avertis les autres,
même quand le téléphone est raccroché,
j'insiste et ils me suivent.
En fait, tout est prétexte pour manger,
avoir des friandises.
Deux vont même les rejoindre dans la cuisine
en manifestant leur intérêt.
Nous reconnaissons le couteau
qui coupe les carottes.
Le sachet qui renferme le foin...
De toute manière, on entend les moindres bruits de la maison,
nos petites oreilles perçoivent très bien le plus petit détail sonore,
qui passent inaperçu pour vous.
Nous sommes des petites peluches,
très vives et très attentives à vos déplacements quotidiens.
Nous aimons bien insister,
souvent le résultat est en notre faveur,
vous finissez toujours par céder.
Nous sommes irrésistibles...
je suis aussi la plus jeune.
Je suis blanche, juste la tête et les oreilles rousses.
J'ai les yeux rouges, mais je ne suis pas albinos,
le véto l'a dit....
Je suis née dans un refuge pour chevaux,
mes parents ont été accueillis là bas.
Puis un jour, on est venu me chercher.
Je devais m'appeler Nouria....
mais parait-il ce nom ne résonnait pas bien,
quand on tentait de le prononcer.
Arrivée à la maison, j'étais dénommée Damia.
Je suis avec un copain Sam,
il était plus âgé que moi,
mais gentil.
Maintenant, il s'exprime aussi.
Je suis tombée dans une famille de peluches bavardes.
Tout le monde discute, dès que l'occasion s'y prête.
Ma spécialité consiste à annoncer aux autres,
quand l'une des voitures rentre dans le garage,
je les distingue parfaitement.
En été, quand la porte-fenêtre du salon est ouverte,
je me charge de prévenir des mouvements
autour de la maison et sur la terrasse.
Les pas des promeneurs crissent,
même sur l'herbe...
Quand les chaises grincent sur le carrelage,
j'avertis les autres,
même quand le téléphone est raccroché,
j'insiste et ils me suivent.
En fait, tout est prétexte pour manger,
avoir des friandises.
Deux vont même les rejoindre dans la cuisine
en manifestant leur intérêt.
Nous reconnaissons le couteau
qui coupe les carottes.
Le sachet qui renferme le foin...
De toute manière, on entend les moindres bruits de la maison,
nos petites oreilles perçoivent très bien le plus petit détail sonore,
qui passent inaperçu pour vous.
Nous sommes des petites peluches,
très vives et très attentives à vos déplacements quotidiens.
Nous aimons bien insister,
souvent le résultat est en notre faveur,
vous finissez toujours par céder.
Nous sommes irrésistibles...