ouvert pour pouvoir écrire
ce qui me passait par la tête.
Ecrire à titre d'entrainement,
écrire pour faciliter la mise sur papier.
Du coup, les peluches se sont mises aussi
à savoir se servir d'un clavier d'ordinateur,
pour raconter leur vie et les diverses nouvelles
qui ponctuent leur quotidien identique,
mais toujours renouvelé.
La rencontre avec mon ami le cheval,
et les relations que nous partageons,
ce qu'il m'a appris et ce qu'il m'apprend,
source de rigolade et de détente assurée...
Moment pour faire un bref bilan,
mes recherches avancent
et la phase de rédaction doit s'achever rapidement.
Travailler avec une personne compétente
qui recadre rend d'inégalables services.
Je ne regrette pas d'avoir refuser
de travailler avec celui qui se noyait tout seul.
Il m'avait demandé de travailler indirectement pour lui,
et de débloquer quatre sujets au lieu d'un seul.
Une vraie catastrophe, malgré les avertissements de mon oncle
et d'une autre personne.
On finit toujours par apprendre.
La pêche aux manuscrits se poursuit en fonction des numérisations,
permet d'établir des contacts par mail
ou de vive voix en fonction des rencontres plus ou moins inattendues.
Toujours riches d'enseignement au-dessus des légumes,
ou au détour d'un rayon...
Heureusement, elles ne sont pas trop nombreuses,
car le temps passe vite et la rédaction prend du temps.
Un changement professionnel en cours,
j'en saurais plus la semaine prochaine.
Cette nouvelle fonction me plaira-t-elle ou non,
je n'en sais rien,
par contre elle me booste pour faire avancer mes travaux.
Enfin les réflexions matinales de ces cinq ans d'existence.
