Tu es venu chez nous un beau jour d'automne,
pendant sept mois nous t'avons gardé.
Nous avons profité pour te câliner,
tu réclamais sans cesse des caresses.
Tu étais l'exception parmi tes congénères.
Tu manifestais en faisant du bruit avec ta maison.
Toujours de bon appétit,
machouillant avec délectation,
le foin odorant.
Nous t'avons gâté,
tu en a bien profité.
Tu le méritais bien.
De bon matin,
tu es reparti tout aussi discrètement.
.
alyane
Au gré de mon inspiration!
Samedi 8 mai 2010 à 9:00
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