Le soleil a bien voulu percer les nuages,
présents depuis quelques jours.
Elle est venue me chercher avec la copine blanche.
Quand elle me prépare, elle me lâche
et je mange de l'herbe autour de la voiture.
Puis balade vers les collines,
un chien se précipite derrière le grillage,
réaction en chaine,
la copine part au galop devant,
moi, je m'échappe sur le côté pour fuir l'ennemi potentiel.
Au galop, je fait quelques belles foulées dans l'herbe,
avant de me calmer.
Elle avait récupéré une rêne pour pouvoir m'arrêter,
mais j'ai reconnu sa voix,
je n'ai pas tardé à m'apaiser.
En fait, elles ont été aussi surprises que nous.
Quelques caresses,
on repart,
encore du trot,
dans la foulée nous enchainons le galop dans la montée...
Retour près des voitures,
où du pain sec nous attend.
Je le mange directement dans le coffre pour finir les miettes.
Jeudi 21 octobre 2010 à 18:16
Mardi 19 octobre 2010 à 21:18
Des brocolis, tellement succulents,
que je les partage avec Jimmy.
Pour être sur, que l'assiette ne bouge pas,
je mets une patte dessus.
Je n'avais pas l'habitude de varier mes menus,
mes goûts étaients restreints aux carottes et endives.
J'apprécie les brocolis, les pommes...
En fait, j'imite les copains et je prends plaisir à déguster d'autres aliments.
Lundi 18 octobre 2010 à 16:37
Je refais pour la nième fois un résumé pour réorienter mes recherches.
Certaines d'ordre socio-historiques sont très restreintes,
aller sur place n'avancerait à rien.
Même les nouvelles recherches effectuées ne rajoutent rien de nouveau depuis le début du 20e siècle.
Les traités montrent les connaissances sur la modalité monodique,
peu traitent de la musique figurée,
sauf un dont je viens de finir la traduction d' un chapitre.
La modalité existe t-elle encore
ou l'amorce vers la tonalité commencerait-t-elle?
Beaucoup d'interrogations subsistent,
concernant l'intégration des modèles à la polyphonie et davantage.
Une comparaison avec d'autres musiques figurées s'impose pour établir une éventuelle typologie.
Comme c'est curieux, on retrouve certaines de ses idées, comme des prévisions antérieures...
Une forme de dédicace serait envisageable...
Eviter un certain désappointement serait l'idéal.
Certaines d'ordre socio-historiques sont très restreintes,
aller sur place n'avancerait à rien.
Même les nouvelles recherches effectuées ne rajoutent rien de nouveau depuis le début du 20e siècle.
Les traités montrent les connaissances sur la modalité monodique,
peu traitent de la musique figurée,
sauf un dont je viens de finir la traduction d' un chapitre.
La modalité existe t-elle encore
ou l'amorce vers la tonalité commencerait-t-elle?
Beaucoup d'interrogations subsistent,
concernant l'intégration des modèles à la polyphonie et davantage.
Une comparaison avec d'autres musiques figurées s'impose pour établir une éventuelle typologie.
Comme c'est curieux, on retrouve certaines de ses idées, comme des prévisions antérieures...
Une forme de dédicace serait envisageable...
Eviter un certain désappointement serait l'idéal.
Dimanche 17 octobre 2010 à 20:27
Je trouve qu'il y a beaucoup d'articles avec le cheval,
je proteste,
aujourd'hui je prends la plume.
Je ne sors pas de la maison,
surtout avec ce temps magnifique.
Mais quelques événements ponctuent notre journée,
nous aimons la compagnie des humains.
Je la recherche tout seul ou avec les copains.
Quand ils sont occupés,
j'attends un peu pour quémander,
sinon je commence à discuter.
Avec succès, ma récompense ne tarde jamais,
et je persiste encore un bon moment.
Maintenant que l'automne est bien entamé,
les portes sont poussées,
je les ouvre avec ma tête,
comme Jimmie.
Je reste souvent sur le tapis,
mes longs poils me protègent du froid.
Mais, je n'aime pas la corvée de la brosse,
elle fait attention,
je suis très douillet.
En cas de noeuds, elle me les coupe.
Puis elle me brosse pour que mes poils brillent.
Je patiente, je reçois toujours un morceau de carotte ou d'endive.
Nous avons droit au jus de fruit multivitaminé,
il est dilué,
certains d'entre nous apprécient beaucoup.
Au début je n'aimais pas trop,
maintenant je me régale autant qu'eux.
je proteste,
aujourd'hui je prends la plume.
Je ne sors pas de la maison,
surtout avec ce temps magnifique.
Mais quelques événements ponctuent notre journée,
nous aimons la compagnie des humains.
Je la recherche tout seul ou avec les copains.
Quand ils sont occupés,
j'attends un peu pour quémander,
sinon je commence à discuter.
Avec succès, ma récompense ne tarde jamais,
et je persiste encore un bon moment.
Maintenant que l'automne est bien entamé,
les portes sont poussées,
je les ouvre avec ma tête,
comme Jimmie.
Je reste souvent sur le tapis,
mes longs poils me protègent du froid.
Mais, je n'aime pas la corvée de la brosse,
elle fait attention,
je suis très douillet.
En cas de noeuds, elle me les coupe.
Puis elle me brosse pour que mes poils brillent.
Je patiente, je reçois toujours un morceau de carotte ou d'endive.
Nous avons droit au jus de fruit multivitaminé,
il est dilué,
certains d'entre nous apprécient beaucoup.
Au début je n'aimais pas trop,
maintenant je me régale autant qu'eux.
Vendredi 15 octobre 2010 à 11:23
Pourquoi avec certaines personnes,
les échanges sont-ils compliqués,
tandis qu'avec d'autres,
l'osmose est presque immédiate.
Certes au départ,
le sujet présentait des difficultés,
puis au fur et mesure des conversations,
la fluidité s'établit,
elle abolit les distances,
comme si la communication s'effectue autrement.
Dans d'autres cas,
comme un dialogue de sourds,
où vous êtes obligés de recadrer les attentes de chacun.
S'expliquer pour mettre les choses au point,
être sûr de parler le même langage,
pour pouvoir avancer vers le même but.
Lors de connexions absorbées
le repérage s'effectue,
mais le report a lieu pour une prochaine occasion.
les échanges sont-ils compliqués,
tandis qu'avec d'autres,
l'osmose est presque immédiate.
Certes au départ,
le sujet présentait des difficultés,
puis au fur et mesure des conversations,
la fluidité s'établit,
elle abolit les distances,
comme si la communication s'effectue autrement.
Dans d'autres cas,
comme un dialogue de sourds,
où vous êtes obligés de recadrer les attentes de chacun.
S'expliquer pour mettre les choses au point,
être sûr de parler le même langage,
pour pouvoir avancer vers le même but.
Lors de connexions absorbées
le repérage s'effectue,
mais le report a lieu pour une prochaine occasion.